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3 mai 2025

La vitamine K - Mai 2025

 Bonjour, bonjour !
La vitamine naturelle K tire son nom du danois "koagulation". C'est dans ce pays qu'elle a été découverte dans les années 20, par hasard, par un biochimiste qui effectuait des recherches sur le cholestérol.
Elle se décline sous deux formes : K1 et K2. A noter qu'il existe aussi une vitamine synthétique K3, principalement utilisée dans l'alimentation animale.
Elle est liposoluble, elle se dissout donc dans les graisses mais pas dans l'eau.
Sauf problèmes de santé particuliers, les carences en vitamine K sont extrêmement rares, car les besoins journaliers sont vite couverts par notre alimentation qui en contient beaucoup.

Quel est son rôle ?
La vitamine K1 d'origine végétale, participe à la coagulation sanguine pour prévenir les saignements et les ecchymoses excessives.
La vitamine K2 d'origine animale, facilite la fixation du calcium sur les os pour les solidifier.
Elle pourrait également jouer un rôle dans notre santé cardiovasculaire et la régulation de la glycémie.

Où la trouver ?
La vitamine K1 se trouve essentiellement dans les légumes verts comme les choux, les haricots verts, les endives, les épinards crus, les asperges, les herbes aromatiques (surtout le persil), les blettes, les salades... ainsi que dans les fruits comme le kiwi, les fraises, les raisins, les myrtilles, les pommes, les prunes... et aussi dans les huiles de soja, de colza, d'olive, de canola, de pépins de raisin et enfin dans les oléagineux.
La vitamine K2 se trouve dans les produits laitiers fermentés (yaourts, fromages à pâte molle), le jaune d'œuf, l'huile de foie de morue et le foie de volaille, les cuisses de poulet, le soja fermenté (tofu, tempeh), la choucroute.

4 juil. 2015

La flore intestinale - Juillet 2025

 Bonjour, bonjour !

Ça y est, nous y voila : deux beaux mois d'été nous attendent !
Vacances, farniente, soleil, prendre le temps... joli programme n'est-ce pas ?!
Je vous le souhaite de tout cœur en tout cas.

Comment allez-vous en ce début juillet ?
Et votre flore intestinale, comment va-t-elle ?
Pourquoi cette question ? 
Parce qu’elle joue un rôle important dans la gestion de notre poids.

Mais qu’est-ce que la flore intestinale ?
C’est l’ensemble des micro-organismes naturellement présents dans les intestins et l’estomac. Cela représente des millions et des millions de bactéries, de bonnes bactéries comme les probiotiques, garantes de notre système immunitaire, indispensables au bon fonctionnement de notre appareil digestif et de notre organisme en général, puisqu’elles vont naviguer dans tout notre corps, jusqu’au système respiratoire. C’est une barrière essentielle pour empêcher que des bactéries malsaines prolifèrent dans notre organisme.

Ces bactéries malsaines peuvent arriver par différents canaux : le stress, les antibiotiques qui tuent toutes les bactéries, bonnes ou mauvaises, les anti-inflammatoires, une alimentation inadaptée, des intolérances que nous pouvons avoir avec certains aliments…
Ces maux mettent à mal notre flore et occasionnent constipations, ballonnements, gaz, diarrhées, inflammations diverses, problèmes cutanés, pouvant engendrer des maladies beaucoup plus graves…

Des études récentes sur le sujet ont démontré que les personnes souffrant d’obésité ou de diabète avaient une flore intestinale appauvrie.

Il est donc  important que notre flore intestinale soit en pleine forme.
Encore faut-il faire les bons choix !
Tous les aliments sucrés ou qui se transforment rapidement en sucres simples sont néfastes pour notre flore intestinale qu’ils déstabilisent s’ils sont trop consommés : le glucose des pommes de terre, le fructose des jus de fruit, le lactose des produits laitiers. De même, il est préférable de ne pas trop manger de viande (surtout si elle contient des antibiotiques…), d’aliments trop cuits ou transformés, de limiter sa consommation de fromage et de graisses saturées.
Il faut se méfier du chlore contenu parfois dans l’eau potable, des pesticides...

Une fois de plus, notre alimentation a un rôle fort à jouer et c’est grâce à elle que l’on va pouvoir entretenir notre flore en la nourrissant de prébiotiques et probiotiques utiles, les prébiotiques étant des fibres (fructanes), contenues dans certains fruits et légumes, fibres résistantes à la digestion et qui stimulent le développement des bonnes bactéries depuis l’estomac jusque dans le côlon.
On en trouve entre autres dans l’artichaut, le topinambour, l’ail, l’oignon, le poireau, la chicorée, la banane, le miel, l’orge et le seigle.

Pour bien nourrir notre flore, il faut privilégier les fibres de qualité car elles ont une action prépondérante sur notre transit.
Il y a les fibres insolubles que l’on trouve entre autres dans les céréales complètes et les oléagineux. Elles pompent l’eau, augmentant ainsi la taille des selles, ce qui est très utile, particulièrement en cas de constipation.
Les fibres solubles (les légumineuses en sont très riches), forment un gel visqueux, qui ralentit l’absorption des sucres et favorisent l’élimination des graisses.

Si possible, il faut privilégier les fruits et légumes bio qui ne contiennent pas de pesticides et conservateurs.
Les poissons gras sont également de bons aliments pour notre flore.
La choucroute ainsi que tous les légumes lacto-fermentés sont intéressants, le pain au levain, les olives, les sauces soja, le miso, la levure de bière, les yaourts...

Pour les boissons, le kéfir est une aide appréciable ainsi que les tisanes d’acore, ortie, achillée, de fumeterre.

Mastiquez bien votre nourriture : la mastication a son rôle à jouer dans le traitement des aliments ingérés. Nous en avons parlé ici

Bien entendu, méfiez-vous de ces alicaments de supermarchés, vantés à grands coups de slogans marketing…
Ces produits sortis tout droit du grand chapeau de l’industrie agroalimentaire sont loin d’avoir toutes les vertus et au passage, nous font avaler du sucre de mauvaise qualité.


Précision de Anne:
Si vous pensez avoir besoin de probiotiques complémentaires ; parlez-en à votre médecin ou mieux à un homéopathe ou à votre pharmacien : il saura vous conseiller et estimer ce qu’il vous faut.
Les meilleures gélules contenant des probiotiques sont à double enveloppe : la première est dissoute par les sucs gastriques et la seconde dans le grêle : là où les probiotiques doivent arriver pour jouer pleinement leur rôle.

6 juin 2015

L'envie de sucré - Juin 2025

 Bonjour, bonjour !

Nous voici arrivés au mois de juin.
Mois de la douceur...
Douceur ? Vous avez dit douceurs ?
Je vois déjà l’œil de nos becs sucrés qui pétille !!

La tartelette qui vous tend les bras dans la vitrine du pâtissier, votre collègue qui vous propose un bonbon et comme il n’est pas poli de refuser… hummmm…. C’est tellement bon !
Ça fait comme de la douceur à l’intérieur de nous.
Cette douceur dont on a tant besoin, qui nous fait défaut parfois, parce qu’on a un souci, parce qu’on est stressé, parce qu’on est triste, parce qu’on s’ennuie…
On se dit qu’on ne prendra qu’une bouchée, et puis on en prend deux, puis trois…

Et oui, c’est doux sur le moment, mais ensuite…
Ensuite on s’en fait le reproche et on s’en veut. Nous voila en colère après nous, la colère n’étant pas la meilleure conseillère…

On en parle souvent : le sucre est un poison et n’ayons pas peur des mots, le sucre peut devenir une drogue.
Plus vous en mangez et plus vous avez envie d’en manger.
Mais bon, il faut temporiser et ne pas confondre une consommation excessive durant un instant T et une consommation compulsive quotidienne où là on peut parler d’addiction.

Il faut dire que nous ne sommes pas aidés et ce n’est pas facile d’éviter le sucre puisqu’aujourd’hui, il est partout.
Un fléau autorisé et même encouragé par les pouvoirs publics sous la pression de la toute puissante industrie de l’agro alimentaire.
Nous consommons 2 fois plus de sucre qu’il y a 15 ans et 80% de ce sucre, sucre raffiné de mauvaise qualité, se trouve dans les produits de l’agro alimentaire : charcuterie, biscuits, yaourts, plats préparés… la liste est longue.
C’est aujourd’hui la première cause de nombreuses maladies de notre civilisation moderne : diabète, cholestérol, obésité… sans parler des cancers…

Alors pour éviter le sucre, on se réfugie dans le rayon des produits light.
C’est marqué sur le devant des paquets : zéro sucre, zéro calorie.
Combien se font piéger par ses mensonges écrits en gros sans se demander pourquoi cet aliment zéro sucre… est sucré ?
Les édulcorants utilisés (sucres chimiques rappelons-le), contenus dans ces produits, vont agir sur l’organisme de la même manière que le sucre, continuant à entretenir l’appel du sucre.

Et ça, les industriels l’ont parfaitement compris.
Oui, ils ont bien compris qu’en ajoutant du sucre dans leurs préparations, ils allaient en améliorer le goût et donner envie d’en manger plus, plus souvent.
Rendez-vous compte qu’en consommant quotidiennement des produits raffinés, des boissons sucrés on peut arriver à avaler chaque jour l’équivalent de 150 grammes de sucre pur !!!

Je ne vais pas revenir sur tous les dégâts que le sucre peut causer à notre organisme.
Ce sujet a été développé dans cet article ici :

Vous y trouverez aussi des conseils pour choisir des sucres naturels, beaucoup plus sains.
Mais attention ! Même si ce sont des sucres naturels, il n’en demeure pas moins qu’ils doivent eux aussi être consommés avec beaucoup de modération.
Le sucre naturel reste du sucre !
N’oubliez pas qu’il ne faudrait pas consommer plus de 50 grammes grand maximum au quotidien.

Alors comment faire pour se passer du sucre, pour perdre cette manie de plonger la main dans le paquet de bonbons à tout bout de champ ?
Il n’y a bien sûr pas de remède miracle, vous vous en doutez.
C’est un travail à mener sur soi et avec soi.
On peut se déshabituer du sucre. Cela demande un peu de temps, mais on y arrive.
Demandez à une personne qui a l’habitude de sucrer son café de ne plus en mettre : en le buvant elle dira que ce n’est pas bon et fera la grimace.
Mais si cette personne persévère, au bout de quelques jours elle sera parfaitement habituée à ce nouveau goût et sera ensuite incapable d’avaler son café sucré !

Bien évidemment LE conseil entre tous : on mange IG bas, la meilleure façon de canaliser et réguler son taux de sucre sanguin ! Ce qui nous permet de nous offrir de temps en temps une petite douceur.

On évite bien sûr toute alimentation industrielle et surtout, surtout, on lit bien la liste des ingrédients et on piste les sucres cachés.
Sucre = tous les noms en "ose" : glucose, saccharose, fructose, lactose, dextrose… miel, caramel, sirop de fruit, malt, édulcorants (saccharine, aspartam ou cyclamate), sorbitol, xylitol, cassonade, maltodextrine, amidons…

Les phénomènes de stress jouent sur notre envie de sucre. En agissant sur nos hormones, ils libèrent du sucre dans notre organisme et par réaction, celui-ci réclame de quoi reconstituer ses réserves, d’où nos envies de sucre durant ces périodes.

C’est dans les grains entiers (riz, quinoa, céréales…) et les fruits et légumes frais que vous trouverez vos meilleurs apports en sucre, mais avec modération cela va de soi

Fuyez les pubs télé et pendant ce temps, allez vous préparer une tisane… sans sucre !

Nous avons parlé ici de l’effet bénéfique du chrome.

Et pour ne pas être tentée par des sucreries, le meilleur moyen reste quand même de ne pas en acheter non ?!


Je laisse la parole à Domino, qui a une information intéressante à vous donner, qui pourra
certainement aider ceux et celles qui ont du mal à raccourcir leur bec sucré.

*************
 
Bonjour, c'est Domino, à part du sucré, je n'aime pas grand chose !!
Depuis une quinzaine d'années, j'achète des gélules de Gymnena Sylvestris, plante qui fait partie de la médecine ayurvédique . En cas de fringale irrésistible, j'ouvre la gélule, c'est de la poudre de feuilles que je mets sur et sous la langue et mon envie passe aussitôt. C'est une plante qui rend le goût du sucre neutre et sans saveur.
Là, c'est de l'instantané, au lieu de se jeter sur du chocolat au lait ou autre, on ouvre la gélule !
Je n'en prends qu'exceptionnellement, soit maximum 3 gélules par mois.
Au moment de Pâques, j'ai dû en prendre 2 en quelques jours, depuis aucune ensuite.
 

2 mai 2015

L'image de soi - Mai 2015

Bonjour, bonjour !

Joli mois de mai !
Les jours rallongent, les jupes raccourcissent !
On ressort les vêtements légers et voila qu’on ne peut plus se cacher sous de gros pulls et des doudounes.
Même pas peur ?!!

Nous en parlons souvent ici, beaucoup de critères peuvent agir sur notre silhouette.
Ils peuvent être physiques et ils peuvent être psychologiques aussi.
Et le jugement que nous portons sur nous en est un non négligeable.

C’est incroyable ne trouvez-vous pas cette incapacité à nous accepter physiquement pour beaucoup d’entre nous ?
J’ai lu une étude qui disait que 95% des femmes n’aimaient pas leur physique.
Pourquoi ?
Ne serions-nous pas tout simplement trop exigeantes avec nous-mêmes, trop implacables à traquer nos défauts ?
On voudrait toujours être « plus » quelque chose.
Perfectionniste avec nous-mêmes, cela peut aller jusqu’à de la maltraitance dans des cas extrêmes.
L’empathie dont nous faisons preuve envers nos ami(e)s, nous sommes bien souvent incapables de nous en donner une once.
Nous ne sommes pas loyales envers nous.

Ne sommes-nous pas trop bercées par des dictats de beauté qui ne correspondent pas à la vraie vie ? Très franchement, lorsqu’il m’arrive de regarder des défilés de mode, je suis horrifiée par l’allure des mannequins et je ne voudrais en aucun cas leur ressembler.
C’est comme ces magazines féminins : avez-vous une idée de l’âge des minettes qui vantent une crème antirides ou un soin amincissant : 13, 14, 15 ans tout au plus et de surcroît, vive Photoshop pour sublimer tout ça…
On se moque de nous non ?
Et pourtant on fonce tête baissée.
Alors on nous propose différentes méthodes pour être plus belles :
- les cosmétiques
- le régime (bien sûr !!!)
- la chirurgie esthétique
- la méthode Coué (ça coûte moins cher !)
Bof, bof…

Personnellement, je n’aime pas les photos.
Je trouve que ce qu’elles capturent de moi ce n’est pas moi.
Et combien de fois ai-je été surprise en rencontrant une personne que je ne connaissais que par photo, pas vous ?

C’est comme le miroir.
Le syndrome du miroir.
Le miroir est le cliché d’un instant T de nous.
C’est comme une photo, à la différence près que nous lui faisons plus de grimaces !
Mais tout compte fait c’est la même chose.
On est figé. Ne s’y trouve que le reflet de notre visage ou de notre silhouette.
Il manque juste l’essentiel : nous.
Nous, c’est-à-dire notre façon de bouger, notre regard lorsqu’il se pose sur quelqu’un, notre sourire, notre rire, notre démarche, notre façon de marcher, de nous asseoir, notre voix, notre façon de parler, nos réflexions, nos expressions, nos gestes… nous quoi.
Tout ce qui fait que nous sommes nous.
Et c’est tout cela que l’on ne voit pas dans notre miroir ou sur une photo : en fait on n’y voit pas grand-chose, que du superficiel. Et principalement tous nos points disgracieux : boutons, poils, dents imparfaites, patte d’oie, cernes, petit bidon, double menton…on ne voit que ça !!
Et c’est avec ce superficiel que nous nous forgeons un avis tranché sur nous. 

Mais est-ce ce que les autres voient en premier de nous ?
Lorsque vous rencontrez une personne pour la première fois, qu’est-ce qui vous accroche avant tout : ses rides, ses boutons, son nez de travers ?
N’attachez-vous pas plutôt très vite de l’importance à sa présence, son attitude, son regard, son sourire, le timbre de sa voix, son rire, sa manière de bouger, sa manière d'être ?
C'est cela qui va nous charmer ou, au contraire, nous repousser.
Et tout ce que je viens de citer là, on ne peut pas le voir dans un miroir et rien n’apparaîtra sur une photo.
On a si vite fait de se trouver moches alors que les personnes qui nous rencontrent ne nous jugent pas du tout ainsi.
On peut ne pas correspondre aux canons de la beauté d’aujourd’hui mais il n’en demeure pas moins que notre pouvoir de séduction agit grâce à notre façon de vivre, d’être, de nous comporter avec autrui.
Nous connaissons tous des personnes qui ne sont pas très gracieuces dirons-nous, mais bon sang, qu’est-ce qu’on les aime, elles sont tellement attirantes ! Ce petit (ou grand) quelque chose qui émane d’elles fait mouche à chaque fois ! Elles rayonnent !
Alors non, le physique ne fait pas tout et c’est heureux. Quelle discrimination ce serait sinon !

Il est néanmoins légitime de vouloir soigner son apparence, pour les autres certes, mais par respect envers soi avant tout. 
C’est important.
Respectons-nous.
Le zéro défaut n’existe pas, on dit bien que la perfection n’est pas de ce monde n’est-ce pas ?
Nous avons tous et toutes nos trucs qui clochent, mais nous avons aussi nos atouts, notre charme, nous en avons tous.
Il faut prendre soin de soi, c’est essentiel et puisque c’est notre credo ici, je dirai que notre aspect extérieur est fortement influencé par ce que nous mettons dans notre assiette.
Des traits affaissés, une peau sèche ou grasse, des signes de fatigue peuvent révéler des carences nutritionnelles.
En prenant soin de nous, en faisant un peu d’exercice, en soignant notre alimentation, notre peau, nous nous sentons mieux, plus sûr de nous et ce mieux se reflète sur notre apparence.
Pensez également à aller faire un tour au dressing où des articles sont là pour vous aider à vous mettre en valeur grâce à quelques astuces futées.

Ce n’est pas un chemin facile que celui qui amène à l’estime de soi.
Nous avons cependant tout à gagner à aller à notre rencontre, le cœur ouvert et la main tendue.
Devenir notre meilleure amie est ce qui peut nous arriver de meilleur.

Et au lieu de nous regarder dans notre miroir, prenons plus de temps pour nous regarder dans le regard de ceux qui nous aiment. Ce reflet-là est notre trésor.
Et notre vrai moi.


C'est à vous !
Comment s'est passé le mois d'avril ?!

4 avr. 2015

La fatigue - Avril 2015

 Bonjour, bonjour !

Je suis contente d'avoir vu le printemps arriver : les jours qui rallongent, les températures qui vont doucement remonter, le soleil qui en principe doit être plus présent, j'en avais vraiment besoin.
Je me sens fatiguée.
 
La fatigue on connaît tous, c’est devenu monnaie courante dans notre vie dite moderne.
On dort mal, pas assez et la machine déraille.
L’humeur s’en ressent, notre concentration aussi… sans compter qu’à la longue, le manque de sommeil peut avoir de graves conséquences sur notre santé avec des risques de diabète, de problèmes cardiaques et d’obésité.
Et oui, encore un facteur qui peut nous faire prendre du poids insidieusement.

Toutes les études le prouvent : on mange plus lorsqu’on est fatigué.
Privé d’un sommeil réparateur, c’est tout notre métabolisme qui s’en trouve chamboulé et c’est la pagaille parmi nos hormones !
La leptine, qui signale au cerveau qu’on a assez mangé diminue.
La ghréline qui stimule la faim est augmentée.
Notre sensibilité à l’insuline est moindre.
Le sucre est moins bien toléré.
Et voila comment petit à petit on mange plus et on prend du poids.


Pourquoi est-on fatigué ?
La fatigue est un signal que nous envoie notre corps.
La cause est souvent liée à notre vie trépidante, trop occupée, trop de choses à faire en même temps, trop de tout en fait et on oublie de lever le pied.
Et puis il y a d’autres raisons aussi.

De mauvaises habitudes
Se coucher trop tôt ou trop tard peut être préjudiciable à la qualité de notre sommeil.
Comme pour notre alimentation, il faut être à l’écoute des signaux que nous envoie notre corps en se couchant lorsqu’on sent la fatigue arriver (tant pis pour le film à la télé !).

Le manque d’exercice
Ne pas faire d’exercice fatigue et en faire donne de l’énergie.
Il n’est pas nécessaire de faire du sport d’endurance, une simple promenade au grand air donnera de bons résultats. Des études effectuées à l’université de Georgie ont démontré que l’exercice régulier pouvait réduire la sensation de fatigue de 65% !

L’apnée du sommeil
Ce trouble respiratoire nuit à la qualité du sommeil et fatigue énormément.
Il ne faut surtout pas hésiter à consulter au moindre doute.

La grossesse
L’impact sur l’organisme est très important, occasionnant de grands bouleversements et donc de la fatigue… et que dire après l’accouchement lorsque bébé est là !!

Le thé et le café
La théine et la caféine le soir risquent de rendre votre endormissement compliqué, il est préférable d’éviter d’en boire après 17h00 et de consommer plutôt des tisanes ou du thé rouge (roisboos).

Hydratation
Nous en avons déjà parlé ici
Le manque d’hydratation est une cause importante de fatigue ressentie dans la journée.

L’absence de p’tit déj
Après plusieurs heures de jeûne, l’organisme a besoin de nourriture pour reprendre le rythme.
Sauter le p’tit déj peut avoir des répercussions sur la journée, occasionnant des coups de fatigue.

Un manque de fer
Notre alimentation équilibrée sur ABC nous met à l’abri de ce souci, à moins d’avoir un problème de santé.
Les végétariens et végétaliens doivent être très vigilants par contre, pour éviter toute carence.

Les médicaments
La prise de médicaments impacte bien évidemment notre organisme et certains d’entre eux demandent un peu de temps avant d’être bien tolérés, occasionnant parfois des somnolences.
Si cette fatigue persiste, il sera peut-être nécessaire d’ajuster ou revoir le traitement.

La dépression
C’est souvent un effet secondaire à cette maladie.
Un épisode dépressif doit vous inciter à en parler à votre médecin ou à tout autre professionnel de santé.

Le diabète
Manque d’énergie et fatigue peuvent en être les symptômes.
A contrôler si nécessaire avec bien évidemment, une alimentation tenant compte de l’indice glycémique des aliments n’est-ce pas ?!!

L’hypothyroïdie
La thyroïde ne produisant pas suffisamment d’hormones, elle déséquilibre le métabolisme qui ralentit plutôt que de dépenser l’énergie et la stocke sous forme de graisse.
S’ensuit beaucoup de fatigue et un manque de tonus.

La contraception
Les hormones contenues dans les pilules contraceptives peuvent chez certaines personnes provoquer quelques dérèglements et entraîner de la fatigue.
Là aussi, il ne faut pas hésiter à en parler avec son médecin.



Comment lutter contre la fatigue
D’abord en éliminant toutes causes médicales si cet état se prolonge.
Bien évidemment en dormant le mieux possible.
Et puis avec quelques astuces en plus

Mangez bien
Évidemment !!
Des protéines : poisson, viande, produit laitier, légumineuses
Consommez des aliments riches en fer : viande rouge, abats, coquillages, légumineuses, oléagineux, œufs…
De la vitamine C : agrumes, chou cru, kiwi, poivron, brocoli…
Du magnésium : graine de citrouille, épinards, cacao, céréales complètes…
Du bêta-carotène : patate douce, carotte…
Du potassium : épinards, avocats, courge, fruits secs…

Mangez léger le soir avec peu de gras si ce ne sont des oméga 3.
Pensez aux légumineuses et si nécessaire, diminuez votre consommation de protéines au dîner, car elles peuvent vous apporter une énergie qui peut contrecarrer votre endormissement.

Respirez
Inspirez doucement et profondément, en gonflant votre abdomen.
Retenez votre souffle, comptez jusqu’à 5 et expirez lentement en contractant petit à petit votre abdomen. Bloquez pendant 5 secondes et répétez 5 fois cet exercice si possible.
En vous oxygénant ainsi profondément, cela vous donnera un bon coup de fouet.
Idéalement, faites cet exercice en plein air ou devant une fenêtre ouverte.

Bougez
Comme évoqué dans les causes de la fatigue, le manque d’exercice nous rend amorphe.
Bouger est un excellent moyen de recharger ses batteries en dynamisant le flux sanguin et cela aère les neurones de surcroît !

Buvez
Un coup de fatigue dans la journée ? Buvez un grand verre d’eau.
Attention à l’alcool : même s’il peut favoriser l’endormissement, il peut aussi court-circuiter votre sommeil en déclenchant des sécrétions d’adrénaline qui vous empêcheront de passer en phase profonde de sommeil.
Buvez une tisane bien chaude le soir : verveine, camomille, fleur d’oranger, tilleul… 

Faites une pause
Juste quelques minutes pour soi.
Installez-vous confortablement, si possible avec les jambes surélevées, fermez les yeux et concentrez-vous sur chaque partie de votre corps en demandant à chacune d’entre elles de se détendre complètement.
Cela aide à évacuer les tensions du corps.

Les huiles essentielles
Deux gouttes d’huile essentielle de menthe sur un mouchoir que vous respirez profondément ou un bain avec deux gouttes d’HE de menthe et quatre de romarin : ça donne du peps !
Demandez un avis médical auparavant si vous être enceinte ou atteint d’une maladie chronique.
Et Bibi nous a donné un truc qui fonctionne bien ici

Le ginseng
C’est un tonifiant reconnu depuis des millénaires mais il a été victime de son succès et on ne trouve plus désormais que des produits à base de plantes de culture.
Vous pouvez en faire une cure sous forme de gélules ou d’extrait, mais pas si vous êtes enceinte, si vous faites de l’hypertension, ni pour les ados.

Cure de printemps
Pensez également aux conseils données par Domino dans l’article ici
Le début du printemps est le moment idéal pour se purifier de l’intérieur et repartir du bon pied !


C'est à vous !

7 mars 2015

La rétention d'eau - Mars 2015

 Bonjour, bonjour !

Le temps semble long lorsqu'on le passe sous la grisaille... on a moins envie de sortir, de bouger, moins de motivation en fait.
On rentre dans sa coquille et au final, on se sent un peu engoncé dans ses vêtements, même si on fait attention à son alimentation.
Et si c'était un peu de rétention d'eau ?

Notre corps est composé d’environ 60% d’eau et l’organisme doit assurer une bonne gestion entre ce que nous perdons (urine, selles, transpiration…) et ce que nous consommons (boissons, eau des aliments…).
Nos reins jouent à ce titre un rôle essentiel.

Le phénomène de rétention d'eau survient lorsque nous  emmagasinons plus d'eau que nous en éliminons. Les vaisseaux sanguins en se dilatant laissent alors l’eau pénétrer dans les tissus et favorisent les gonflements, voire les œdèmes.
Une peau qui reste marquée quand vous appuyez dessus est un signe que vous ne devez pas négliger.

Oublions tout de suite l’idée fausse d’arrêter de boire dans ces cas-là.
Ce n’est bien souvent qu’un phénomène passager et tout rentre dans l’ordre rapidement : un coup de fatigue, un rhume, une période de stress, pas assez d'activité physique...
Si c’est persistant par contre, il ne faut pas hésiter à consulter son médecin.


Qu’est-ce qui peut causer de la rétention d’eau ?

L’alimentation
Trop de sel qui retient l’eau, une sensibilité à un type d’aliment

Les hormones
Une pilule mal dosée, la ménopause, la période des règles, un traitement peuvent faire gonfler

La circulation sanguine
Si elle n’est pas bonne, elle peut provoquer de la rétention d’eau. Ce peut être dû à une insuffisance rénale, un dysfonctionnement du foie, du cœur, une hypothyroïdie... 

Les médicaments
Certains peuvent avoir cet inconvénient, il faut donc en parler avec votre médecin.

La chaleur
Elle dilate les vaisseaux sanguins.

La grossesse
Surtout durant les dernières semaines où le ventre pèse sur le système veineux.

Le poids
C’est indéniablement un facteur aggravant de la rétention d'eau.

Les protéines
Elles jouent un rôle très important car elles participent à l’élimination de l’eau dans l’organisme et ne pas en consommer suffisamment peut occasionner de la rétention d’eau.


Voici quelques pistes pour lutter contre la rétention d’eau

L’alimentation
Pensez aux aliments riches en potassium comme l’asperge, le chou, le poireau, le radis noir qui ont une action purifiante sur la bile.

Réduisez votre consommation de sel. Ne resalez pas vos plats, évitez la charcuterie, le fromage, les plats tout prêts. Pensez aux épices pour saler moins.

Consommez suffisamment de protéines, en privilégiant les viandes blanches et les poissons, ainsi que les protéines végétales.

Hydratez-vous correctement chaque jour.

Utilisez les bienfaits des plantes qui ont une action sur le foie, les reins et sur le système lymphatique sous forme homéopathique ou en infusion : thé vert, verge d’or, pissenlit, pâquerette, vigne rouge, l’orthosiphon (ou thé de java) ou encore la piloselle… Ces plantes sont faciles à se procurer en boutiques diététiques, en pharmacie ou en parapharmacie.

Si vous pensez être intolérant à un aliment, supprimez-le de votre alimentation pendant une quinzaine de jours et observez ce qui se passe. Parlez-en à votre médecin si nécessaire.

Vêtements
Évitez tout ce qui serre la taille, ce qui comprime les jambes avec des élastiques trop serrés.
Choisissez des matières légères et fluides.
Ne portez pas de chaussures qui brident le pied.
Votre médecin peut vous prescrire des vêtements de contention.

Soins
Dès que c’est possible, surélevez vos jambes pour avoir les pieds plus hauts que les hanches : cette position facilite le retour veineux vers le cœur.

Pratiquez une activité physique régulière qui améliore votre circulation sanguine et diminue la rétention d’eau. Pensez à la natation, au vélo, à la marche…

Profitez-en pour vous faire masser !
Un massage sur les bras et les jambes permet de déstocker l’eau dans les tissus.
Massages et exercices appropriés aident le corps à éliminer l’eau accumulée.
Deux sortes de massages sont recommandées
Le drainage passif
Il est réalisé en institut ou par un kinésithérapeute avec un remboursement en cas d’œdème.
Le drainage lymphatique
Il doit être effectué par un kinésithérapeute.
Il existe des instituts de beauté qui proposent des soins anti rétention d’eau mais il est important de bien vérifier que le personnel est qualifié
Le massage lymphatique stimule la circulation de la lymphe et du sang par un drainage doux effectué avec la paume des mains qui suivent le sens de circulation de la lymphe.
Quelques séances donnent en principe de bons résultats.
Selon les cas, ces massages sont pris en charge par l’Assurance maladie.

7 févr. 2015

Les compulsions alimentaires - Février 2015

Bonjour, bonjour !

Un sujet que j'aimerais évoquer avec vous, celui des compulsions alimentaires.
Question : doit-on vivre pour manger ou manger pour vivre ?
Certaines vivent des rapports très compliqués avec la nourriture.
Une lutte de chaque jour.
Et c'est difficile de reprendre le dessus.
Surtout lorsque vous dressez un rempart entre vous et vos émotions.

Les compulsions alimentaires représentent une échappatoire pour fuir l’ennui, la solitude, un mal-être, une sensation de vide.
Mais cela ne résout rien.
On le sait bien.
Inutile de culpabiliser.

C'est en nous qu'est la ressource pour sortir de cette spirale dans laquelle on s'enferme et on s'isole.
Cela ne peut venir que de nous.
Nous, ce déclic qui un jour nous fait dire « ça suffit !! ».

On peut s'en sortir seule, à force de beaucoup de ténacité.
Il existe cependant de nombreuses aides efficaces pour maîtriser les pulsions alimentaires.
La sophrologie, l’homéopathie, la relaxation, la cohérence cardiaque, pour ne citer que ces quelques exemples.
La psychanalyse peut aussi aider à extérioriser ce qui ronge à l'intérieur, à l’analyser et enfin, à apprendre à vivre avec, sans que ce soit une souffrance perpétuelle.
Le premier travail à effectuer sera d’être soi-même, de lâcher prise, de ne plus se tenir sous contrôle, de ne plus se voir dans le regard des autres, de dire ce que l'on ressent, ce qu'on aime, ce qu'on n’aime pas. 
Nous sommes toutes une personne à part entière, qui mérite toute notre considération et notre estime.
Aimons-nous.
Ce n’est certes pas facile, certains jours même... beaucoup plus difficiles que d’autres.
Il faut s’accorder du temps, de la patience, de la compassion aussi.
S'écouter.

Il n’existe malheureusement pas de trucs infaillibles, voici néanmoins quelques petites idées qui peuvent servir :
- S'occuper, car l’oisiveté est propice aux craquages : un loisir créatif, du coloriage, du lèche-vitrine, un bon bouquin, un verre avec des copines, ABC (en voila une chouette occupation !), un bain parfumé, un masque relaxant, la pose de vernis à ongle (en plus l’odeur et la nourriture c’est très bof !), une marche, une séance de piscine, un club de danse, la salle de sport de votre quartier… bref, toute occupation qui vous permettra d’évacuer votre stress et de vous vider la tête, de penser à autre chose tout en vous faisant plaisir !
- Se laver les dents avant de céder, on n’a pas forcément envie de manger après
- Avoir toujours des encas corrects où que l'on soit, même dans sa voiture, de manière à se sentir rassurée de savoir que l'on a quelque chose sous la main. Je glisse bien souvent dans mon sac à main un petit sachet contenant quelques amandes (celle de Anne évidemment !).
- En cas de pulsion, il faut s'efforcer de déguster ce que l'on mange, de ne pas se jeter dessus. Un morceau après l’autre, posément, en mastiquant doucement, en respirant profondément et surtout, en ne faisant rien d’autre, pour bien prendre conscience de ce que l'on est en train de faire.
- Prévoir ses menus à l’avance, choisir des choses qui font plaisir et que l'on appréciera de savourer au moment de passer à table.
- Écrire. Lorsque qu'on sent une pulsion poindre, on prend un cahier, une feuille, peu importe et on écrit ce que l'on ressent, en laissant le stylo écrire pêle mêle tout ce qui passe par la tête. La relecture se fera plus tard, à tête reposée. 
C'est intéressant de recommencer à chaque fois. Beaucoup d’enseignements inattendus peuvent s’y trouver.
Et en matière d’écrits, ABC est aussi un moyen d’expression où vous trouverez chaque jour une attention particulière et un partage, sans jugement.
Vous pouvez compter sur notre appui.

Je vais maintenant laisser la parole à Bamako, qui va partager avec nous son expérience en la matière.


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J'ai acheté du magnésium ainsi que du chrome courant décembre, dans mon supermarché habituel, car j'avais lu quelque part que cela pouvait aider à gérer ses compulsions alimentaires. 
Une fois rentrée chez moi, un petit tour sur internet pour savoir exactement ce que j'allais ingurgiter et ce que j'ai lu m'a bien plu : le magnésium aide à calmer les nerfs, facilite le sommeil, détend et le chrome permet une meilleure assimilation du sucre et limite le stockage des graisses, le duo parfait !!! 

Je mange trop et mal quand je stresse, quand je suis énervée. Par exemple, quand mes enfants (que j'élève seule) sont à la limite du supportable, je vais dans le placard me calmer les nerfs avec une boite de biscuits, tablette de chocolat... donc, si j'arrive à être plus détendue, je n'aurai pas ces "besoins", d'où la nécessité du magnésium pour me zénéifier !!

Après il y a un gros facteur psycho qui fonctionne dans mon cas : quand j'ingurgite quelque chose, je pense à ce que cela apporte à mon corps. Pour une boîte de sardines à l'huile d'olive, je vais me dire "je suis en train de donner du bon gras à mon corps et cela va booster mes défenses immunitaires". Dans le cas du chrome, je pense "cela va me permettre d'assimiler le sucre dans mon corps, de mieux l'utiliser et je ne vais pas stocker les graisses que je mange aujourd'hui. 
C'est comme si je prévenais mon corps, j'ai l'impression de renforcer l'action de l'aliment en imprimant dans mon cerveau cette action, en la visualisant... je fais ça pour tout, l'eau aussi, en envoyant le message "hydratation" à mon corps. 

10 janv. 2015

Bilan 2014 - Janvier 2015



Bonjour, bonjour !
Ce mois-ci nous allons faire une réunion un peu différente.
Les fêtes viennent tout juste de passer et je ne pense pas que ce soit une bonne idée de sauter à pieds joints sur votre balance tout de suite !

Et puis les événements de ces derniers jours ont généré beaucoup de stress et on sait quel impact négatif cela peut avoir sur notre poids...

Alors ce que je vous propose, en attendant de reprendre un bon rythme, c’est que nous fassions un petit bilan de cette année qui vient de passer.
Comment l’avez-vous vécue ?
Quels ont été vos points forts, vos points faibles ?
En un an, comment votre poids a-t-il évolué ?
Quelle analyse faites-vous de votre parcours ?

Cette mise à plat, permettra sûrement d’en tirer des conclusions et d’apporter quelques correctifs qui sait.

Me concernant, mon poids est stable, si ce n’est qu’en milieu d’année, je m’étais aperçue que je m’étais un peu empâtée à ne plus avoir d’activité physique.
J’ai repris la marche rapide régulièrement et au bout de quelques semaines, je me suis à nouveau sentie beaucoup plus à l’aise dans mes vêtements (Maître Ruban me l’a confirmé), sans rien changer à mon alimentation.
Je sais donc que l’exercice physique est une clé indispensable à mon bien-être et par voie de conséquence, à ma silhouette.
Et ce doit être le cas de beaucoup parmi nous !

Manger sainement est essentiel et l’exercice physique est tout aussi important n’est-ce pas ?!
A moi donc de persévérer dans cette voie !

Allez, c’est à vous !

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