Bonjour, bonjour !
On dit qu’on en a plein le dos, qu’on a une boule au ventre, qu’on a les reins solides, qu’on l’a en travers de la gorge… des expressions du quotidien qui veulent bien dire que nos émotions, celles qu’on garde en soi, doivent s’exprimer d’une manière ou d’une autre et cela passe bien souvent par une expression physique.
On dit qu’on en a plein le dos, qu’on a une boule au ventre, qu’on a les reins solides, qu’on l’a en travers de la gorge… des expressions du quotidien qui veulent bien dire que nos émotions, celles qu’on garde en soi, doivent s’exprimer d’une manière ou d’une autre et cela passe bien souvent par une expression physique.
On peut d’ailleurs se demander si, en déclenchant une
douleur physique, notre corps n’attire pas notre attention sur une douleur
émotionnelle.
Mais savons-nous décoder à force de refouler ?
Beaucoup de nos maux expriment en fait notre mal-être psychologique.
On peut avoir mal à l’estomac à cause d’une contrariété, avoir mal au foie parce qu’on est en colère, être ballonné car on retient des sentiments qu’on ne parvient pas évacuer…
Mais savons-nous décoder à force de refouler ?
Beaucoup de nos maux expriment en fait notre mal-être psychologique.
On peut avoir mal à l’estomac à cause d’une contrariété, avoir mal au foie parce qu’on est en colère, être ballonné car on retient des sentiments qu’on ne parvient pas évacuer…
La médecine occidentale d’aujourd’hui a plutôt tendance à séparer le corps de l’esprit (ce qui n’a pas toujours été le cas), alors que la médecine orientale ne les dissocient pas (ex : la méditation, le Shiatsu, la sophrologie, la médecine ayurvédique).
Certes, on ne peut pas faire une généralité et assimiler
tous nos maux à des émotions, il n’en demeure pas moins qu’il est intéressant
de se poser les bonnes questions à propos de tel ou tel mal ressenti, avant d’en
chercher la solution avec un médicament qui n’aura comme utilité que de mettre
un pansement sur une plaie mal soignée.
70% de nos maladies seraient consécutives à nos émotions.
70% de nos maladies seraient consécutives à nos émotions.
Parce nous considérons souvent que nos émotions sont nos faiblesses et cela dès notre plus jeune âge. Qui n’a jamais dit à un petit garçon en pleurs qu’un homme ça ne pleurait pas ?
On nous a mis dans un moule tout petit. A l’école on a vite appris à ne pas dépasser le trait, à ne pas faire de faute, à ne pas écrire dans la marge…
Et puis il y a toutes ces émotions qu’on refoule quand on a été vexé, mis en colère… on rentre tout cela au tréfonds de soi, mais il va bien falloir que ça ressorte d’une façon ou d’une autre.
Il a été établi que nos organes réagissaient en fonction d’émotions
précises.
En cas de honte, un afflux sanguin submerge notre visage et a contrario lorsqu’on a peur, on pâlit car le sang quitte notre visage pour alimenter nos membres inférieurs.
Le cœur et l’intestin sont liés à la haine et l’impatience, le foie et la vésicule à la colère et la frustration, la peur à la vessie et aux reins…
Chaque organe fera de son mieux pour absorber l’émotion et pour ne pas mettre à mal l’organisme au global, mais il y a des limites à la résistance et lorsque cette limite est atteinte, la maladie survient.
En cas de honte, un afflux sanguin submerge notre visage et a contrario lorsqu’on a peur, on pâlit car le sang quitte notre visage pour alimenter nos membres inférieurs.
Le cœur et l’intestin sont liés à la haine et l’impatience, le foie et la vésicule à la colère et la frustration, la peur à la vessie et aux reins…
Chaque organe fera de son mieux pour absorber l’émotion et pour ne pas mettre à mal l’organisme au global, mais il y a des limites à la résistance et lorsque cette limite est atteinte, la maladie survient.
Libérer et exprimer ses émotions est donc un travail à faire
sur soi.
Pas facile d’être bienveillant envers soi et d’accepter ses ressentis, de lâcher prise, de pleurer si nécessaire.
Pas facile mais pas impossible non plus.
Pas facile d’être bienveillant envers soi et d’accepter ses ressentis, de lâcher prise, de pleurer si nécessaire.
Pas facile mais pas impossible non plus.
On peut agir sur sa respiration.
Elle intervient sur notre système sympathique (qui prépare à l’action) et sur notre système parasympathique (qui ralentit les fonctions de l’organisme et facilite la relaxation). Reprendre le contrôle de sa respiration permet de reprendre le contrôle de ses émotions. On peut s’entraîner soi-même et il existe des techniques respiratoires qu’on peut trouver dans la sophrologie, le yoga, le Tai-chi, la méditation et le Qi-gong par exemple.
Elle intervient sur notre système sympathique (qui prépare à l’action) et sur notre système parasympathique (qui ralentit les fonctions de l’organisme et facilite la relaxation). Reprendre le contrôle de sa respiration permet de reprendre le contrôle de ses émotions. On peut s’entraîner soi-même et il existe des techniques respiratoires qu’on peut trouver dans la sophrologie, le yoga, le Tai-chi, la méditation et le Qi-gong par exemple.
La détente du corps produit également un apaisement qui rejaillit sur
l’esprit.
Normal car quand l’esprit est en ébullition, le corps n’est pas en repos. Et vice versa.
Parvenir à un relâchement musculaire, articulaire, viscéral et organique va envoyer un signal fort au cerveau qui va se décharger de l’intensité émotionnelle du moment. La sophrologie a mis au point un protocole à ce sujet, pour se familiariser avec la détente corporelle.
Normal car quand l’esprit est en ébullition, le corps n’est pas en repos. Et vice versa.
Parvenir à un relâchement musculaire, articulaire, viscéral et organique va envoyer un signal fort au cerveau qui va se décharger de l’intensité émotionnelle du moment. La sophrologie a mis au point un protocole à ce sujet, pour se familiariser avec la détente corporelle.
Mais n’oublions pas pour autant les émotions positives !
Se sentir bien, ressentir de la joie, donner un sens à sa vie c’est bon pour la santé !
Dans cet état d’esprit, on se sent plus réceptif à soi, moins addicts à des petits travers.
En tout cas, une chose est clairement établie : notre esprit et notre corps ne font qu'un, alors prenons grand soin de l'un et de l'autre.
Se sentir bien, ressentir de la joie, donner un sens à sa vie c’est bon pour la santé !
Dans cet état d’esprit, on se sent plus réceptif à soi, moins addicts à des petits travers.
En tout cas, une chose est clairement établie : notre esprit et notre corps ne font qu'un, alors prenons grand soin de l'un et de l'autre.
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