Bonjour la maisonnée !
Les pratiques de conservation et d'emballage !
Les fruits secs par exemple ! Les raisins, figues, etc.. sont saupoudrés de farine ; les transporteurs à bande utilisés pour l'emballage des fruits secs sont souvent saupoudrés de farine pour leur éviter de coller ensemble
En bio, paraît-il que cela n'existe pas, mais soyons attentifs tout de même, car si vous êtes intolérant au gluten, autant le savoir !
L'adjonction de dioxyde de soufre ! Elle est fortement pratiquée dans l'industrie alimentaire. Les qualités conservatrices et anti-oxydantes des sulfites, dérivés du dioxyde de soufre, y sont massivement exploitées (conservation des cornichons, des fruits secs, du vin, du cidre, etc.)
Un exemple : l'abricot sec. D'une couleur différente, plus sain et vraiment meilleur, il a de plus le bon goût de pouvoir servir d'argument choc à tous ceux qui aiment défendre le bio comme vous et moi. Donc, on peut se demander quelles peuvent être les raisons qui poussent à le soufrer après l'avoir traité, en conventionnel.
La réponse : un abricot non soufré se conserve 1 an tandis que l'autre 5 ! Avantage uniquement commercial. La longue conservation des abricots secs soufrés encourage la spéculation en permettant aux négociants de jouer avec les cours du marché, d'une année à l'autre.
La couleur est plus vendeuse. Le consommateur n'y voit que du feu, car pour lui l'abricot sec doit être orange comme le sirop de menthe doit être vert.
Un inconvénient quand même : l'abricot soufré est plus acide et les arômes moins développés. La consommation peut occasionner des allergies, aigreurs d'estomac et maux de tête comme un mauvais rosé. Vous avez dit rosé ? Encore une autre application de la conservation au SO2, c'est-à-dire le gaz issu de la combustion du soufre.
Bonne semaine !
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