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Venez et poussez la porte, la serrure n'a jamais fonctionné alors on a jeté la clé.
Un sourire en humant les fumets d'un plat qui mijote.
Un sourire encore à la vue d'une belle assiette que vous allez déguster.
L'esquisse d'un sourire, léger et doux. Celui qu'il sera si agréable que vous vous adressiez, en regardant votre silhouette dans le miroir.
Avançons ensemble, à la rencontre des indices glycémiques bas.


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Sans oublier l'incontournable : toutes nos recettes de cuisine, toutes nos idées de menus, pour manger bon, sain, équilibré,
en faisant du bien à notre corps, et dedans et dehors, avec des indices glycémiques bas !
Venez vous balader, fouiner, humer, échanger : on est bien dans notre maison... qui est la vôtre aussi !
Car ensemble, c'est plus facile !

samedi 6 janvier 2024

Rendez-vous dans la véranda - Janvier 2024

 Bonjour,bonjour !
On est endroit de se poser la question : pourquoi les industriels nous proposent-ils des produits ultra-transformés ?

Pour rappel, un aliment ultra-transformé est un aliment sur lequel une intervention a été opérée dans la façon dont les nutriments (protéines, lipides, glucides, vitamines, minéraux, oligo-éléments), sont liés ensemble.

Quel est le processus ?
Soit on fait subir à un aliment brut un type de cuisson spécifique comme le soufflage (galette de riz, pop-corn industriel), ou la cuisson extrusion (opérations de malaxage, cisaillement, compression qui échauffent les aliments, ce qui produit une « cuisson » et une évaporation de l'eau – c’est la cas des céréales du petit-déjeuner par exemple),
Soit on ajoute un ou plusieurs ingrédients ultra-transformés à des aliments bruts.

Mais il existe bien d’autres processus.
On mange d’abord avec les yeux n’est-ce pas ?!
Alors pour masquer la pauvreté nutritionnelle de certains produits, les industriels utilisent ce qu’on appelle des additifs cosmétiques, comme une crème de beauté qu’on applique sur sa peau pour avoir meilleure mine ou sentir bon ! C’est pareil pour ces aliments : ils sont ainsi plus appétants, plus jolis (avec des colorants), plus parfumés (avec des arômes de synthèse et des exhausteurs de goût) et plus agréables en bouche (avec des texturants). Il devient ainsi plus tentant pour le consommateur, peu importe sa qualité. On peut d’ailleurs estimer qu’utiliser ce genre de subterfuge n’est pas innocent et qu’on tente clairement de nous abuser.
En tout cas, tous nos sens sont en éveil !!

Il existe aussi une autre technique, le cracking.
Très pratique et économique… pour les industriels.
On appelle aussi cette pratique l’ultra-fractionnement. Cela consiste à décomposer toute la structure d’un aliment brut pour en isoler les protéines, le gluten, le glucose, les fibres et diverses formes d’amidons qui sont récupérés sous forme de poudres et de sirops.
Ces produits servent ensuite à doser le goût, la texture, la couleur et la conservation des aliments ultra-transformés comme les plats préparés, les pizzas surgelées et les confiseries, etc…
Evidemment, le cracking dénature les aliments et les privent de tout nutriment, ce qui participe au fait que lorsqu’on consomme des produits ultra-transformés, on est moins rassasiés et on a plus vite faim ensuite.

Tous ces procédés sont tout sauf naturels.
Un isolat de fibres par exemple, n’aura pas de rapport avec des fibres naturelles d’un aliment brut pour notre microbiote.
C’est une évidence : les produits ultra-transformés sont artificiels.

Lorsque vous cuisinez, cherchez-vous à masquer l’aspect de l’aliment que vous cuisinez, de changer son goût, son odeur, sa couleur ?
Les industriels inventent des produits alimentaires à partir d’ingrédients bas de gamme. Alors pour compenser et donner envie de l’acheter, il faut cacher les défauts.
C’est en partie à cela que sert l’ultra-transformation, qui, soit dit en passant ne prend à aucun moment le facteur santé dans ses processus : juste du profit pour les industriels, il ne faut pas chercher plus loin la motivation.
Retrouvez un autre article sur le sujet ICI

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