Bonjour la maisonnée !
Vous recevez aujourd'hui, chouette, des amis à la maison !!
Oui mais voila, le budget est serré en ce moment.
Qu'à cela ne tienne, voyons ce qu'on peut faire...
Entrée
Salade fraîche de fenouil aux poires
ici
Plat
Boulettes de dinde aux olives (recette à venir)
Servies avec du quinoa
Dessert
Tarte aux pommes
ici
Bon week-end !
Vous trouverez ici des publications quotidiennes de recettes et des idées de menus IG bas pour une alimentation saine, variée et équilibrée, ainsi que de nombreux conseils sur la santé.
8 nov. 2014
7 nov. 2014
Quiche aux poireaux sans pâte (IG bas)
Une recette de Nicole
qui s’est inspirée de celle de Sybille Montignac
Ingrédients pour 4
personnes
5 œufs
500 g de blanc de
poireaux
200 g de petits
lardons non fumés ou tofu fumé en plat végé
30 cl de crème ou de crème soja (soja pour les personnes sensibles au lactose)
200 g de gruyère râpé*
1 gros oignon émincé
Huile d'olive
Sel, poivre, noix de
muscade
Préparation
Lavez les poireaux,
coupez-les en morceaux de 1 à 2 cm d'épaisseur.
Cuisez-les à la vapeur pendant
20 minutes.
Réservez en les laissant égoutter.
Faites revenir les
lardons dans une poêle à petit feu.
Faites-leur perdre un maximum de graisse et évitez de les faire griller.
Réservez sur du papier absorbant.
Faites revenir
l'oignon émincé dans une poêle avec de l'huile d'olive.
Ajoutez les poireaux
égouttés et arrêtez la cuisson dès qu'ils sont tendres.
Préchauffez le four à
160°C (thermostat 5).
Cassez les œufs dans
une jatte et battez-les en omelette avec la crème. Salez très légèrement, poivrez
et mettez un peu de noix de muscade fraîchement râpée.
Ajoutez le gruyère râpé, mélangez bien puis ajoutez les lardons, les oignons et les poireaux
recueillis avec l'écumoire afin d'éviter le jus de cuisson. Mélangez encore.
Versez la préparation
dans un plat à gratin huilé.
Enfournez et faites cuire pendant 40 à 45 minutes.
Une
cuisson au bain marie est préférable mais non nécessaire.
Servez tiède avec une bonne salade verte ou une salade composée.
Servez tiède avec une bonne salade verte ou une salade composée.
*Pour les végétariens, fromage pouvant contenir de la présure animale
Menu végétarien du vendredi 07 novembre 2014
Bonjour la maisonnée !
P'tit déj GP
Jus de fruit
Pain au sarrasin et soja
ici
Confiture
Chocolat chaud (lait de soja, cacao 100%, sucre de coco)
Déjeuner PL
Quiche aux poireaux sans pâte (recette à venir - version végé pour l'occasion)
Salade verte
Clémentines
Dîner GP
Curry de PST, pois chiches et légumes
ici
servi selon l'appétit avec un peu de riz Basmati
1/2 mangue
Bonne journée !
P'tit déj GP
Jus de fruit
Pain au sarrasin et soja
ici
Confiture
Chocolat chaud (lait de soja, cacao 100%, sucre de coco)
Déjeuner PL
Quiche aux poireaux sans pâte (recette à venir - version végé pour l'occasion)
Salade verte
Clémentines
Dîner GP
Curry de PST, pois chiches et légumes
ici
servi selon l'appétit avec un peu de riz Basmati
1/2 mangue
Bonne journée !
6 nov. 2014
Râpé de betteraves à la vinaigrette de framboise (IG bas)
Une recette de Becha Melle !
Ingrédients pour 5 personnes
600 grs de
betteraves crues après épluchage
3 cuillères à soupe rases d'huile
d'olive
2 bonnes cuillères à soupe de
vinaigre de framboises
1 échalote
Sel, poivre
Persil frais ciselé
Persil frais ciselé
Une vingtaine de
framboises
Quelques pistaches
sans sel broyées en poudre avec un moulin à café ou à graines.
10 tranches de gros
saucisson ou andouille (PL uniquement - composition à vérifier pour les personnes sensibles au gluten)
Préparation avec le Thermomix
Mettez dans le bol les betteraves en gros morceaux, l'échalote,
l'huile, le vinaigre, le sel, le poivre et mixez 8 sec/vit 5.
Déposez au centre de
chaque assiette les betteraves râpées et parsemez de persil ciselé, disposez 4 demi-tranches de saucisson ou andouille autour ainsi que 4
framboises et parsemez un peu partout des petites touches de pistaches moulues.
Terminez par une fleur de capucine (ou autre) au centre pour faire joli.
Menu sans gluten ni lactose du jeudi 06 novembre 2014
Bonjour la maisonnée !
Un menu proposé par Lucia
P'tit Déj GP
1 orange
Crêpe à la
farine de sarrasin
Compote de
fruits rouges sans sucre ajouté
1 yaourt
soja
Déjeuner PL
Œufs à la
tomate
Carottes
râpées
Crème aux
fruits rouges sans gluten
Dîner GP
Soupe aux
neuf haricots
Salade verte
1 pomme au
four
Bonne journée !
Papotons au salon - Novembre 2014 (1)
Week-end !!
Le meilleur moment de la semaine tiens ! ☺
Enfin pas pour ceux et celles qui bossent... courage !
Nous parlons très souvent du soin que nous devons apporter à nos choix en grande surface ou magasin bio d'ailleurs : lire la liste des ingrédients est primordial, je crois que nous en sommes tous convaincus.
5 nov. 2014
Papillotes de poisson au citron vert et à la menthe (IG bas)
Ingrédients pour 2 personnes
2 filets de poisson à chair ferme
20 cl de crème soja
Menthe fraîche ou surgelée
1 citron vert
Sel, poivre
1 tomate (ou valeur en surgelé selon la saison)
Préparation
Mélangez la crème avec la menthe ciselée, le zeste du citron finement râpé, sel et poivre ; goûtez et ajustez l’assaisonnement.
Coupez deux feuilles de papier sulfurisé et posez-les chacune sur une assiette creuse.
Déposez un filet de poisson au centre, salez et nappez de crème.
Ajoutez quelques rondelles de tomates par-dessus.
Fermez hermétiquement chaque papillote.
Faire cuire à four chaud (200°C pour moi) 10 à 15 minutes selon l'épaisseur du poisson.
Le gingembre
Une fiche préparée par Valérie S
Photo du site merkaweb
Qu'est-ce que c'est ?
Le gingembre est une plante originaire de Chine. C’est son rhizome qui est consommé.
Il est consommé aux quatre coins du monde pour soulager différents maux tels que les rhumatismes, les nausées, le rhume et les maux de tête...
Il est consommé aux quatre coins du monde pour soulager différents maux tels que les rhumatismes, les nausées, le rhume et les maux de tête...
Photo du site gerbeaud
Récolte et transformation
Plante tropicale qui demande neuf ou dix mois de croissance sans gel, le
gingembre ne se cultive normalement pas sous nos climats. Toutefois,
les amateurs inconditionnels pourront en produire à petite échelle.
Il n'y a pas si longtemps, pour démarrer sa culture, on pouvait se servir de morceaux de rhizome achetés à l'épicerie, mais depuis que le gouvernement canadien a approuvé l'irradiation des épices qui, dans le cas du gingembre, a précisément pour but de l'empêcher de germer, on doit se procurer des plants chez les grainetiers spécialisés, ou encore des rhizomes issus de l'agriculture biologique et, par conséquent, non irradiés.
Culture en contenant, puis en pleine terre. Commandez vos jeunes plants au début de l'automne. Transplantez-les aussitôt dans des pots de 20 cm remplis d'un terreau composé à parts égales de vermiculite, mousse de tourbe (ou terreau de feuilles) et compost (végétal, de fumier de mouton, de crevette, etc.). Arrosez bien et placez les pots devant une fenêtre orientée à l'est ou à l'ouest, ou sous un néon de type « Grolight ». Pour le reste de l'hiver, évitez de trop arroser, mais ne laissez jamais les plants se dessécher.
Début juin, transplantez vos plants, en les espaçant de 20 à 25 cm, dans une terre légère, meuble et plutôt sablonneuse, enrichie de compost ou de fumier mûr; idéalement, dans une plate-bande surélevée ou un billon, situations qui permettent de bien irriguer sans présenter de risque de pourriture. C'est que le gingembre aime l'eau, mais déteste avoir les pieds trop longtemps mouillés.
Paillez les plants pour conserver l'humidité et limiter la croissance des mauvaises herbes avec des rognures de gazon ou des feuilles mortes. Tous les mois, et même aux deux semaines, appliquez un engrais foliaire (algues et émulsion de poisson, purin animal ou végétal).
Si la tige jaunit ou que le gel menace, récoltez tous les rhizomes. Mettez de côté les plus sains pour votre prochaine culture, qui débutera deux ou trois mois plus tard après une période de dormance. Entre-temps, gardez-les au frais et à l'obscurité.
Culture en contenants. Le mode de culture est à peu près le même que pour les plants en pleine terre sauf qu’on les élève dans des contenants de 20 ou 25 litres, remplis d'un terreau bien riche. Au printemps, lorsque le gel ne menace plus, sortez les pots à l'extérieur et placez-les dans un endroit semi-ombragé en les protégeant – très important – du vent. L'application d'engrais foliaire et un apport adéquat en eau sont ici primordiaux, les plantes élevées en contenant étant nettement plus exposées aux extrêmes de température et aux carences en nutriments essentiels.
Au moment de la récolte, laissez une partie du rhizome dans la terre des pots et entreposez ces derniers au frais, au sec et à l'obscurité pour environ deux ou trois mois, période au bout de laquelle les plants formeront de nouveau des tiges et vous donneront une autre récolte huit ou neuf mois plus tard.
N'hésitez pas à prélever une partie des rhizomes lorsqu'ils sont encore jeunes – vers cinq mois. Ils sont alors tendres et fins, moins piquants que les rhizomes matures.
Il n'y a pas si longtemps, pour démarrer sa culture, on pouvait se servir de morceaux de rhizome achetés à l'épicerie, mais depuis que le gouvernement canadien a approuvé l'irradiation des épices qui, dans le cas du gingembre, a précisément pour but de l'empêcher de germer, on doit se procurer des plants chez les grainetiers spécialisés, ou encore des rhizomes issus de l'agriculture biologique et, par conséquent, non irradiés.
Culture en contenant, puis en pleine terre. Commandez vos jeunes plants au début de l'automne. Transplantez-les aussitôt dans des pots de 20 cm remplis d'un terreau composé à parts égales de vermiculite, mousse de tourbe (ou terreau de feuilles) et compost (végétal, de fumier de mouton, de crevette, etc.). Arrosez bien et placez les pots devant une fenêtre orientée à l'est ou à l'ouest, ou sous un néon de type « Grolight ». Pour le reste de l'hiver, évitez de trop arroser, mais ne laissez jamais les plants se dessécher.
Début juin, transplantez vos plants, en les espaçant de 20 à 25 cm, dans une terre légère, meuble et plutôt sablonneuse, enrichie de compost ou de fumier mûr; idéalement, dans une plate-bande surélevée ou un billon, situations qui permettent de bien irriguer sans présenter de risque de pourriture. C'est que le gingembre aime l'eau, mais déteste avoir les pieds trop longtemps mouillés.
Paillez les plants pour conserver l'humidité et limiter la croissance des mauvaises herbes avec des rognures de gazon ou des feuilles mortes. Tous les mois, et même aux deux semaines, appliquez un engrais foliaire (algues et émulsion de poisson, purin animal ou végétal).
Si la tige jaunit ou que le gel menace, récoltez tous les rhizomes. Mettez de côté les plus sains pour votre prochaine culture, qui débutera deux ou trois mois plus tard après une période de dormance. Entre-temps, gardez-les au frais et à l'obscurité.
Culture en contenants. Le mode de culture est à peu près le même que pour les plants en pleine terre sauf qu’on les élève dans des contenants de 20 ou 25 litres, remplis d'un terreau bien riche. Au printemps, lorsque le gel ne menace plus, sortez les pots à l'extérieur et placez-les dans un endroit semi-ombragé en les protégeant – très important – du vent. L'application d'engrais foliaire et un apport adéquat en eau sont ici primordiaux, les plantes élevées en contenant étant nettement plus exposées aux extrêmes de température et aux carences en nutriments essentiels.
Au moment de la récolte, laissez une partie du rhizome dans la terre des pots et entreposez ces derniers au frais, au sec et à l'obscurité pour environ deux ou trois mois, période au bout de laquelle les plants formeront de nouveau des tiges et vous donneront une autre récolte huit ou neuf mois plus tard.
N'hésitez pas à prélever une partie des rhizomes lorsqu'ils sont encore jeunes – vers cinq mois. Ils sont alors tendres et fins, moins piquants que les rhizomes matures.
Histoire
Le terme « gingembre » est dérivé du sanskrit shringavera, qui signifie «
en forme du bois du cerf ». De là sont apparus le grec ziggiberis et le
latin zingiber, puis « gingibre » en français, et finalement «
gingembre ».
On pense que le foyer du genre Zingiber se situe dans le sud de l'Inde et de la Chine, où on l'emploie comme plante condimentaire, alimentaire et médicinale depuis plus de 5 000 ans.
L'une des premières épices orientales à faire son entrée en Europe, le gingembre y fut amené par des marchands arabes environ un siècle avant notre ère. Deux siècles plus tard, le Grec Dioscoride et le Romain Pline l'Ancien en font mention dans leurs écrits médicaux, soulignant ses propriétés carminatives et ses vertus comme antidote contre les poisons. Il était connu en France et en Allemagne au IXe siècle et en Angleterre au Xe siècle. Lors de la conquête, les Espagnols l'implantèrent aux Antilles et au Mexique de sorte que, dès le milieu du XVIe siècle, l'Espagne put importer de cette partie du globe la précieuse épice.
De nos jours, on cultive le gingembre dans toutes les régions chaudes de la planète.
On pense que le foyer du genre Zingiber se situe dans le sud de l'Inde et de la Chine, où on l'emploie comme plante condimentaire, alimentaire et médicinale depuis plus de 5 000 ans.
L'une des premières épices orientales à faire son entrée en Europe, le gingembre y fut amené par des marchands arabes environ un siècle avant notre ère. Deux siècles plus tard, le Grec Dioscoride et le Romain Pline l'Ancien en font mention dans leurs écrits médicaux, soulignant ses propriétés carminatives et ses vertus comme antidote contre les poisons. Il était connu en France et en Allemagne au IXe siècle et en Angleterre au Xe siècle. Lors de la conquête, les Espagnols l'implantèrent aux Antilles et au Mexique de sorte que, dès le milieu du XVIe siècle, l'Espagne put importer de cette partie du globe la précieuse épice.
De nos jours, on cultive le gingembre dans toutes les régions chaudes de la planète.
Propriétés
Il stimule l’appétit, facilite la digestion, diminue les douleurs intestinales, les gaz et les ballonnements.
Il prévient les nausées et les vomissements chez les personnes sujettes au mal des transports et chez les femmes enceintes.
Il réduit la toxicité de certains aliments ou plantes.
Il est anti-inflammatoire. Il est utile pour soulager les douleurs de l’arthrite, tendinite, arthrose, rhumatismes.
Il est anti-oxydant. Le gingembre moulu se situe au troisième rang quant à son contenu en antioxydants parmi plus de 1 000 aliments analysés.
Il est anti-viral et fébrifuge. Il aide à lutter contre les rhumes, otites, angines, à faire baisser la fièvre.
Il redonne de l’énergie. A utiliser en cas d’asthénie, fatigue physique, convalescence.
Et bien sûr, il est aphrodisiaque !
Gingembre et diabète
Une récente étude réalisée chez l’animal a démontré que l’ajout d’un extrait de gingembre à la diète de rats diabétiques diminuait leurs taux sanguins de glucose, de cholestérol et de triglycérides. Un tel effet sur le glucose n’avait pas été observé auparavant chez des rats non diabétiques, ce qui laisse entrevoir que le gingembre pourrait exercer son effet spécifique en présence de diabète. Ce sont là des résultats prometteurs qui ouvrent la porte à davantage d’études permettant de connaître l’effet du gingembre dans le contrôle du diabète.
Il prévient les nausées et les vomissements chez les personnes sujettes au mal des transports et chez les femmes enceintes.
Il réduit la toxicité de certains aliments ou plantes.
Il est anti-inflammatoire. Il est utile pour soulager les douleurs de l’arthrite, tendinite, arthrose, rhumatismes.
Il est anti-oxydant. Le gingembre moulu se situe au troisième rang quant à son contenu en antioxydants parmi plus de 1 000 aliments analysés.
Il est anti-viral et fébrifuge. Il aide à lutter contre les rhumes, otites, angines, à faire baisser la fièvre.
Il redonne de l’énergie. A utiliser en cas d’asthénie, fatigue physique, convalescence.
Et bien sûr, il est aphrodisiaque !
Gingembre et diabète
Une récente étude réalisée chez l’animal a démontré que l’ajout d’un extrait de gingembre à la diète de rats diabétiques diminuait leurs taux sanguins de glucose, de cholestérol et de triglycérides. Un tel effet sur le glucose n’avait pas été observé auparavant chez des rats non diabétiques, ce qui laisse entrevoir que le gingembre pourrait exercer son effet spécifique en présence de diabète. Ce sont là des résultats prometteurs qui ouvrent la porte à davantage d’études permettant de connaître l’effet du gingembre dans le contrôle du diabète.
Nutriments
Manganèse, cuivre, magnésium, vitamine B3
Comment le consommer ?
Râpé ou haché frais, le rhizome de gingembre s’utilise dans les plats
sautés et les currys, les soupes, les ragoûts à l'orientale et les plats
de poisson. Penser à l'ajouter dans une vinaigrette composée d'huile,
de vinaigre, de miel et de sauce soya.
Mariné, il est indispensable dans la cuisine japonaise. On le sert avec les sushis, les sashimis, les nouilles orientales, la tempura, etc. Ses fines tranches marinées permettent de « nettoyer » le palais entre deux plats aux saveurs prononcées
Confit ou cristallisé, il entre dans la composition de biscuits, gâteaux ou autres desserts. Haché finement, il est excellent dans de la crème fouettée.
Séché et moulu, il convient aux pains, pâtisseries, confiseries, poudings et entremets. Avec la noix muscade, il assaisonne à merveille la soupe au potiron. Il entre dans la composition du quatre-épices, dont on se sert pour assaisonner les plats mijotés
Mariné, il est indispensable dans la cuisine japonaise. On le sert avec les sushis, les sashimis, les nouilles orientales, la tempura, etc. Ses fines tranches marinées permettent de « nettoyer » le palais entre deux plats aux saveurs prononcées
Confit ou cristallisé, il entre dans la composition de biscuits, gâteaux ou autres desserts. Haché finement, il est excellent dans de la crème fouettée.
Séché et moulu, il convient aux pains, pâtisseries, confiseries, poudings et entremets. Avec la noix muscade, il assaisonne à merveille la soupe au potiron. Il entre dans la composition du quatre-épices, dont on se sert pour assaisonner les plats mijotés
Autres usages
Faire chauffer ½ c. à thé de gingembre râpé et trois ou quatre graines
de cardamome dans une tasse d'un mélange mi-lait mi-eau ou dans de
l’eau. Filtrer. Prendre chaud ou glacé.
Association
En le consommant avec de l’ail et du curcuma, il est hépatoprotecteur.
En le consommant avec du curcuma, du ginseng, des baies de Goji ou de la spiruline, il contribue à diminuer le taux de mauvais cholestérol.
En consommant du gingembre avec de l’ail ou de l’oignon (ou mieux encore, les deux) on créerait une synergie entre leurs différents composés antioxydants. Ce qui leur permettrait de surpasser leurs effets antioxydants individuels.
Association
En le consommant avec de l’ail et du curcuma, il est hépatoprotecteur.
En le consommant avec du curcuma, du ginseng, des baies de Goji ou de la spiruline, il contribue à diminuer le taux de mauvais cholestérol.
En consommant du gingembre avec de l’ail ou de l’oignon (ou mieux encore, les deux) on créerait une synergie entre leurs différents composés antioxydants. Ce qui leur permettrait de surpasser leurs effets antioxydants individuels.
Conservation
Au réfrigérateur, le conserver sur une tablette et non
dans le tiroir à légumes qui est trop humide, ce qui risque de favoriser
le développement de moisissures. On peut facilement le garder quelques
semaines. On peut aussi le conserver dans la dépense, comme les oignons
et les pommes de terre.
Mettre les rhizomes dans un bocal, les couvrir de xérès ou de brandy, fermer et réfrigérer. Ils se garderont pour ainsi dire indéfiniment.
Au congélateur : il suffit de sortir un morceau de rhizome au besoin, et de le râper tandis qu'il est encore gelé. On évitera de le laisser dégeler, car il prend alors une consistance molle et devient difficile à râper.
En morceaux, on peut le faire sécher au four à basse température, porte légèrement ouverte, pendant 10 à 12 heures, après l'avoir ébouillanté une dizaine de minutes pour éviter qu'il ne germe en cours de séchage. Si on le pèle et le coupe en rondelles, il n'est pas nécessaire de l'ébouillanter. Il séchera en quelques jours à la température ambiante.
Les Asiatiques le conservent dans un sirop de sucre.
Mettre les rhizomes dans un bocal, les couvrir de xérès ou de brandy, fermer et réfrigérer. Ils se garderont pour ainsi dire indéfiniment.
Au congélateur : il suffit de sortir un morceau de rhizome au besoin, et de le râper tandis qu'il est encore gelé. On évitera de le laisser dégeler, car il prend alors une consistance molle et devient difficile à râper.
En morceaux, on peut le faire sécher au four à basse température, porte légèrement ouverte, pendant 10 à 12 heures, après l'avoir ébouillanté une dizaine de minutes pour éviter qu'il ne germe en cours de séchage. Si on le pèle et le coupe en rondelles, il n'est pas nécessaire de l'ébouillanter. Il séchera en quelques jours à la température ambiante.
Les Asiatiques le conservent dans un sirop de sucre.
Contre indications
Les personnes prenant des médicaments pour le sang (tels l’héparine, le
coumadin ou l’aspirine) ou avant une chirurgie, doivent éviter de
consommer de grandes quantités de gingembre afin de diminuer les risques
de saignements excessifs.
De plus, de grandes doses de gingembre pourraient interférer avec les médicaments pour le cœur (effet cardiotonique) et les médicaments pour le diabète (action hypoglycémiante). Ces risques d’interaction sont cependant théoriques et n’ont pas nécessairement été observés chez des patients.
De plus, de grandes doses de gingembre pourraient interférer avec les médicaments pour le cœur (effet cardiotonique) et les médicaments pour le diabète (action hypoglycémiante). Ces risques d’interaction sont cependant théoriques et n’ont pas nécessairement été observés chez des patients.
Menu IG bas vite fait du mercredi 05 novembre 2014
Bonjour la maisonnée !
P'tit déj GP
Jus de fruit
Biscottes T150
tartinées de beurre de cacahuète
ici
Café
Déjeuner PL
Émincé de volaille au miel et épice douce
ici
servi avec des fleurettes de brocolis (ça cuit vite et vous pouvez aussi les prendre en surgelé pour aller encore plus vite)
Un morceau de comté
Clémentines
Dîner GP
Papillote de poisson au citron vert et à la menthe (recette à venir)
servie avec du riz Basmati qui cuira pendant la cuisson du poisson
Une compote sans sucre ajouté
Bonne journée !
P'tit déj GP
Jus de fruit
Biscottes T150
tartinées de beurre de cacahuète
ici
Café
Déjeuner PL
Émincé de volaille au miel et épice douce
ici
servi avec des fleurettes de brocolis (ça cuit vite et vous pouvez aussi les prendre en surgelé pour aller encore plus vite)
Un morceau de comté
Clémentines
Dîner GP
Papillote de poisson au citron vert et à la menthe (recette à venir)
servie avec du riz Basmati qui cuira pendant la cuisson du poisson
Une compote sans sucre ajouté
Bonne journée !
4 nov. 2014
Pain 3 céréales (T150, Kamut, Sarrasin) au levain naturel (IG bas)
Une recette de Dog !
Ingrédients :
200 g T 150
150 g Kamut
100 g sarrasin
45 g gluten
350 ml d’eau non chlorée, tempérée
300 gr de levain tout point ou prêt à l’emploi
12 gr de Fleur de sel
A la levure :
12gr de levure fraîche ou 6 à 7 gr de sèche
500 ml d’eau au lieu de 350
150gr de farine en plus à répartir sur les 3 ou sur deux au lieu de 495
60 g de gluten au lieu de 45
Déroulé pour la levure :
Mélangez (frasez) les farines, le gluten, une grosse partie de l’eau sans la levure et le sel
Autolyse (repos) 20 minutes
Ajout de la levure avec le restant de l’eau en ouvrant un peu votre mélange et commencez le pétrissage en ajoutant le sel en fin (jamais le sel et la levure ensemble)
Pour vos levées, il vous faudra être plus attentif ; la levure pointe beaucoup plus vite. Au bout d’une heure, je vous conseille d’aller voir comment se comporte votre pâte.
Pour le reste, vous faites exactement la même chose
Ingrédients :
200 g T 150
150 g Kamut
100 g sarrasin
45 g gluten
350 ml d’eau non chlorée, tempérée
300 gr de levain tout point ou prêt à l’emploi
12 gr de Fleur de sel
Déroulé :
Mélangez la farine, le gluten et l'eau
Repos 30 minutes (autolyse)
Ajout du levain
Pétrissage 20 minutes
Repos 5 minutes
Ajout du sel et pétrissage de 5 minutes
Pointage (1 ère levée) pendant 3 heures et bien protégé
Détente (mise en boule) sur le plan de travail pendant 10 minutes
Rabats et façonnage du pain
Apprêt dans un moule huilé et fariné, pendant 1 h 30
Préchauffage du four sur 240°C
Cuisson : coup de buée et grignage, sur 240°C pendant 10 minutes - 1 heure sur 200°C, 10 minutes four éteint, 5 minutes four entrouvert
Démoulage et ressuage sur une grille jusqu'à complet refroidissement
A la levure :
12gr de levure fraîche ou 6 à 7 gr de sèche
500 ml d’eau au lieu de 350
150gr de farine en plus à répartir sur les 3 ou sur deux au lieu de 495
60 g de gluten au lieu de 45
Déroulé pour la levure :
Mélangez (frasez) les farines, le gluten, une grosse partie de l’eau sans la levure et le sel
Autolyse (repos) 20 minutes
Ajout de la levure avec le restant de l’eau en ouvrant un peu votre mélange et commencez le pétrissage en ajoutant le sel en fin (jamais le sel et la levure ensemble)
Pour vos levées, il vous faudra être plus attentif ; la levure pointe beaucoup plus vite. Au bout d’une heure, je vous conseille d’aller voir comment se comporte votre pâte.
Pour le reste, vous faites exactement la même chose
Les durées et températures de cuisson peuvent être totalement différentes selon le mode de cuisson des fours, les programmes et le choix de l’ustensile pour la cuisson
Le pain par Sophie Petignat, elle ajouté des graines
Le pain par Sophie Petignat, elle ajouté des graines
Inscription à :
Articles (Atom)