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Venez et poussez la porte, la serrure n'a jamais fonctionné alors on a jeté la clé.
Un sourire en humant les fumets d'un plat qui mijote.
Un sourire encore à la vue d'une belle assiette que vous allez déguster.
L'esquisse d'un sourire, léger et doux. Celui qu'il sera si agréable que vous vous adressiez, en regardant votre silhouette dans le miroir.
Avançons ensemble, à la rencontre des indices glycémiques bas.


Voulez-vous visiter ?

- Le vestibule, où l'on reçoit de nouvelles amies qui viennent nous rejoindre

- Le salon, endroit idéal pour les papotages en tout genre

- La bibliothèque, dont les étagères se chargent petit à petit d'infos pour nous aider dans notre quête du bien-être

- La véranda, lieu de notre rendez-vous mensuel pour faire le point du mois écoulé

- Le fournil, tenu de main de maître par notre reine de la boulange

- Le dressing, pour être belle en toutes circonstances

- Un petit tour aussi dans l’atelier créatif

Sans oublier l'incontournable : toutes nos recettes de cuisine, toutes nos idées de menus, pour manger bon, sain, équilibré,
en faisant du bien à notre corps, et dedans et dehors, avec des indices glycémiques bas !
Venez vous balader, fouiner, humer, échanger : on est bien dans notre maison... qui est la vôtre aussi !
Car ensemble, c'est plus facile !

dimanche 5 février 2023

Dimanche 05 février 2023

 Bonjour la maisonnée !




Les apiculteurs sont en colère : des miels étiquetés bio ne le sont pas.
Depuis 2018, discrètement, la réglementation européenne a permis de faire figurer un label bio sur des miels issu d’une aire de butinage pouvant être composée jusqu’à 49.9 % de floraisons non issues de l’agriculture biologique.
Mais ce n’est que l’an passé que les syndicats professionnels ont découvert cette réglementation qui régit leur activité.
Il est donc tout à fait légal de certifier bio des produits de ruche non issus de l’agriculture bio.
En clair, des miels conventionnels peuvent être indiqués comme bio.
Une tromperie délibérée.
Les syndicats ont tenu une réunion en février dernier avec les représentants de la Direction générale de la performance économique et environnementale des entreprises (DGPE) et de l’Institut national de l’origine et de la qualité (l’organisme public chargé des signes officiels d’identification de la qualité et de l’origine, notamment du signe AB (Agriculture biologique)).
Résultat : ces derniers se sont déclarés surpris mais ne feront rien, s’en remettant à l’avis à venir de la commission européenne.
Qu’on se le dise.


Bonne journée et à tout à l'heure pour le goûter


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