Bonjour la maisonnée !
Bonne fête à tous les papas de Belgique !
Vous êtes-vous déjà posé la question de l’impact
environnemental des achats que vous effectuez en ligne ?
Une étude a été menée sur le sujet par l’Ademe et le ministère de la transition écologique car le e-commerce ne cesse de progresser.
En France, cela représente un milliard de colis par an ce qui équivaut à environ un million de tonnes de CO2 ;
Le e-commerce néanmoins dispose de points forts par rapport à des achats en magasin : absence dans de nombreux cas de lieux à éclairer, chauffer et climatiser, pas de déplacements de consommateurs.
Pour ses points faibles, ils sont principalement liés aux emballages, aux recours à des transports express et/ou aériens.
Tout dépend en fait du commerce, du comportement du consommateur et des infrastructures mises à disposition (transport, points de retrait…).
Pour réduire les impacts de ce secteur, il existe des leviers :
Améliorer le maillage des points de retrait permettant à ce qu’on puisse récupérer son colis sans prendre son véhicule.
Mieux organiser les livraisons à domicile avec risque d’échecs et donc redistributions.
Réduire le pourcentage de vide des emballages afin d’en diminuer les volumes et la quantité.
Une meilleure information sur les modes d’expédition pour que le choix puisse être fait en toute connaissance de cause.
Une étude a été menée sur le sujet par l’Ademe et le ministère de la transition écologique car le e-commerce ne cesse de progresser.
En France, cela représente un milliard de colis par an ce qui équivaut à environ un million de tonnes de CO2 ;
Le e-commerce néanmoins dispose de points forts par rapport à des achats en magasin : absence dans de nombreux cas de lieux à éclairer, chauffer et climatiser, pas de déplacements de consommateurs.
Pour ses points faibles, ils sont principalement liés aux emballages, aux recours à des transports express et/ou aériens.
Tout dépend en fait du commerce, du comportement du consommateur et des infrastructures mises à disposition (transport, points de retrait…).
Pour réduire les impacts de ce secteur, il existe des leviers :
Améliorer le maillage des points de retrait permettant à ce qu’on puisse récupérer son colis sans prendre son véhicule.
Mieux organiser les livraisons à domicile avec risque d’échecs et donc redistributions.
Réduire le pourcentage de vide des emballages afin d’en diminuer les volumes et la quantité.
Une meilleure information sur les modes d’expédition pour que le choix puisse être fait en toute connaissance de cause.
Bonne journée et à tout à l'heure pour le goûter
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