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Baguette - Tarte salée - Salade composée - Gratin courgettes - Galettes végé - Panna cotta fraises

7 févr. 2015

Quiche au saumon et épinards (IG bas)






Ingrédients
Pâte (recette ici)
400 g d'épinards hachés surgelés 
350 g de saumon frais sans la peau
20 cl de crème soja
3 œufs
Gruyère râpé
Sel, poivre 
Noix de muscade


Préparation
Préparez votre pâte et foncez un moule à tarte.
Faites dégeler les épinards à feu doux et continuez la cuisson jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'eau dans le fond de la casserole (on peut les préparer la veille). Salez et poivrez.
Coupez le saumon en cubes et faites-les cuire à la vapeur une dizaine de minutes.


Sortez-les immédiatement et versez-les dans un plat en les séparant bien sinon ils vont coller entre eux... et je sais de quoi je parle !! ☺
Répartissez les épinards sur le fond de pâte...


... puis le saumon avec sel et poivre.



Dans un saladier, cassez les œufs et battez en ajoutant la crème, sel, poivre et une pincée de muscade. Versez le mélange sur la tarte et saupoudrez de gruyère râpé.


Faites cuire au four à 200°C pendant 40 minutes environ. 






La quiche de Marie-Anne M





Les compulsions alimentaires - Février 2015

Bonjour, bonjour !

Un sujet que j'aimerais évoquer avec vous, celui des compulsions alimentaires.
Question : doit-on vivre pour manger ou manger pour vivre ?
Certaines vivent des rapports très compliqués avec la nourriture.
Une lutte de chaque jour.
Et c'est difficile de reprendre le dessus.
Surtout lorsque vous dressez un rempart entre vous et vos émotions.

Les compulsions alimentaires représentent une échappatoire pour fuir l’ennui, la solitude, un mal-être, une sensation de vide.
Mais cela ne résout rien.
On le sait bien.
Inutile de culpabiliser.

C'est en nous qu'est la ressource pour sortir de cette spirale dans laquelle on s'enferme et on s'isole.
Cela ne peut venir que de nous.
Nous, ce déclic qui un jour nous fait dire « ça suffit !! ».

On peut s'en sortir seule, à force de beaucoup de ténacité.
Il existe cependant de nombreuses aides efficaces pour maîtriser les pulsions alimentaires.
La sophrologie, l’homéopathie, la relaxation, la cohérence cardiaque, pour ne citer que ces quelques exemples.
La psychanalyse peut aussi aider à extérioriser ce qui ronge à l'intérieur, à l’analyser et enfin, à apprendre à vivre avec, sans que ce soit une souffrance perpétuelle.
Le premier travail à effectuer sera d’être soi-même, de lâcher prise, de ne plus se tenir sous contrôle, de ne plus se voir dans le regard des autres, de dire ce que l'on ressent, ce qu'on aime, ce qu'on n’aime pas. 
Nous sommes toutes une personne à part entière, qui mérite toute notre considération et notre estime.
Aimons-nous.
Ce n’est certes pas facile, certains jours même... beaucoup plus difficiles que d’autres.
Il faut s’accorder du temps, de la patience, de la compassion aussi.
S'écouter.

Il n’existe malheureusement pas de trucs infaillibles, voici néanmoins quelques petites idées qui peuvent servir :
- S'occuper, car l’oisiveté est propice aux craquages : un loisir créatif, du coloriage, du lèche-vitrine, un bon bouquin, un verre avec des copines, ABC (en voila une chouette occupation !), un bain parfumé, un masque relaxant, la pose de vernis à ongle (en plus l’odeur et la nourriture c’est très bof !), une marche, une séance de piscine, un club de danse, la salle de sport de votre quartier… bref, toute occupation qui vous permettra d’évacuer votre stress et de vous vider la tête, de penser à autre chose tout en vous faisant plaisir !
- Se laver les dents avant de céder, on n’a pas forcément envie de manger après
- Avoir toujours des encas corrects où que l'on soit, même dans sa voiture, de manière à se sentir rassurée de savoir que l'on a quelque chose sous la main. Je glisse bien souvent dans mon sac à main un petit sachet contenant quelques amandes (celle de Anne évidemment !).
- En cas de pulsion, il faut s'efforcer de déguster ce que l'on mange, de ne pas se jeter dessus. Un morceau après l’autre, posément, en mastiquant doucement, en respirant profondément et surtout, en ne faisant rien d’autre, pour bien prendre conscience de ce que l'on est en train de faire.
- Prévoir ses menus à l’avance, choisir des choses qui font plaisir et que l'on appréciera de savourer au moment de passer à table.
- Écrire. Lorsque qu'on sent une pulsion poindre, on prend un cahier, une feuille, peu importe et on écrit ce que l'on ressent, en laissant le stylo écrire pêle mêle tout ce qui passe par la tête. La relecture se fera plus tard, à tête reposée. 
C'est intéressant de recommencer à chaque fois. Beaucoup d’enseignements inattendus peuvent s’y trouver.
Et en matière d’écrits, ABC est aussi un moyen d’expression où vous trouverez chaque jour une attention particulière et un partage, sans jugement.
Vous pouvez compter sur notre appui.

Je vais maintenant laisser la parole à Bamako, qui va partager avec nous son expérience en la matière.


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J'ai acheté du magnésium ainsi que du chrome courant décembre, dans mon supermarché habituel, car j'avais lu quelque part que cela pouvait aider à gérer ses compulsions alimentaires. 
Une fois rentrée chez moi, un petit tour sur internet pour savoir exactement ce que j'allais ingurgiter et ce que j'ai lu m'a bien plu : le magnésium aide à calmer les nerfs, facilite le sommeil, détend et le chrome permet une meilleure assimilation du sucre et limite le stockage des graisses, le duo parfait !!! 

Je mange trop et mal quand je stresse, quand je suis énervée. Par exemple, quand mes enfants (que j'élève seule) sont à la limite du supportable, je vais dans le placard me calmer les nerfs avec une boite de biscuits, tablette de chocolat... donc, si j'arrive à être plus détendue, je n'aurai pas ces "besoins", d'où la nécessité du magnésium pour me zénéifier !!

Après il y a un gros facteur psycho qui fonctionne dans mon cas : quand j'ingurgite quelque chose, je pense à ce que cela apporte à mon corps. Pour une boîte de sardines à l'huile d'olive, je vais me dire "je suis en train de donner du bon gras à mon corps et cela va booster mes défenses immunitaires". Dans le cas du chrome, je pense "cela va me permettre d'assimiler le sucre dans mon corps, de mieux l'utiliser et je ne vais pas stocker les graisses que je mange aujourd'hui. 
C'est comme si je prévenais mon corps, j'ai l'impression de renforcer l'action de l'aliment en imprimant dans mon cerveau cette action, en la visualisant... je fais ça pour tout, l'eau aussi, en envoyant le message "hydratation" à mon corps. 

Menu festif du samedi 07 février 2015

Bonjour la maisonnée !

Un menu sans chichi, juste pour se régaler ensemble !


Entrée
Gaspacho de poivrons jaunes
ici













Plat
Quiche au saumon et épinards (recette à venir)












Salade de mâche
Fromage


Dessert
Mousse mascarpone au citron
ici
















Bonne journée !

Papotons au salon - Janvier/Février 2015

J'ai trouvé ce récit intéressant.
Je le partage avec vous.
Il m'a d'abord fait sourire... et puis...

Sommes-nous dans le mouvement écologique ?
Pas facile tous les jours...
Il y a pourtant des gestes que nous pourrions retrouver et dont nous avons perdu l'habitude.

Le progrès nous a rendu la vie plus facile et c'est tant mieux, mais que dire de tous ces besoins que nous nous sommes créés... que l'on nous a créé, et qui nous sont devenus indispensables.
J'ai l'impression parfois d'être dans une spirale que je ne contrôle plus.
Et vous ?


Photo du site wapiti-actu





A la caisse d'un supermarché, une vieille dame choisit un sac en plastique pour ranger ses achats.
La caissière, une toute jeune femme, lui reproche de ne pas se mettre à l'écologie et lui dit:
" Votre génération ne comprend pas le mouvement écologique.
Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources ! "
La vieille femme s'excuse auprès de la caissière et explique :
"Je suis désolée, il n'y avait pas de mouvement écologiste de mon temps."

La caissière ajoute, visiblement énervée : "Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à nos dépens... C'est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l'environnement dans votre temps »
Alors, un peu énervée à son tour, la vieille dame fait observer que dans son temps, on retournait les bouteilles de verre consignées au magasin. Le magasin les renvoyait à l'usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau : les bouteilles étaient recyclées, mais on ne connaissait pas le mouvement écologique.

Elle ajoute :
"De mon temps, on montait l'escalier à pied : on n'avait pas d'escaliers roulants et peu d'ascenseurs.
On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu'il fallait se déplacer de deux rues, on marchait jusqu'à l'épicerie du coin.
Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.

On ne connaissait pas les couches jetables : on lavait les couches des bébés.
On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde.
On avait un réveil qu'on remontait le soir.
Dans la cuisine, on s'activait pour préparer les repas ; on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui consomment des watts autant qu'EDF en produit.
Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boîtes ayant déjà servi, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.
On n'avait pas de tondeuses à essence autopropulsées ou auto portées :on utilisait l'huile de coude pour tondre le gazon.
On travaillait physiquement; on n'avait pas besoin d'aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l'électricité.
Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.

On buvait de l'eau à la fontaine quand on avait soif.
On n'utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter.
On remplissait les stylos dans une bouteille d'encre au lieu d'acheter un nouveau stylo.
On remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir entier après quelques utilisations.
Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.

Les gens prenaient le bus, le métro, le train et les enfants se rendaient à l'école à vélo ou à pied au lieu d'utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi 24 H sur 24.
Les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d'une année sur l'autre, les crayons de couleur, gommes, taille-crayon et autres accessoires duraient tant qu'ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers jetés fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan .
On n'avait qu'une prise de courant par pièce, et pas de bande multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d'aujourd'hui.
Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique !

6 févr. 2015

Tajine de tofu aux olives sur lit de vermicelles de soja (IG bas)



Aux olives noires et pruneaux
au Thermomix




Aux olives vertes et abricots/cramberries
au Cooking chef

Ingrédients
Vermicelles de soja + 1 cube de bouillon (composition à vérifier pour les personnes sensibles au gluten)
1 bloc de tofu ferme
1 grosse carotte ou 2 petites
Jeunes oignons ou échalote ou oignon
1 morceau de gingembre frais à hacher
Quelques morceaux de potiron
Quelques morceaux de panais
Quelques morceaux de courgette
Quelques pruneaux ou abricots secs ou cranberries
Olives noires ou vertes dénoyautées
Amandes effilées
2 cuillères à soupe d’huile d’olive
Un peu d’extrait de légumes (composition à vérifier pour les personnes sensibles au gluten)
1 cube de bouillon à votre goût (composition à vérifier pour les personnes sensibles au gluten)
1 ou 2 citrons confits
Sel, Poivre
Ras el Hanout et épices couscous (un peu différent du premier)
Cumin
Thym
Coriandre fraîche


Réalisation
Faites macérer vos fruits secs dans un bol d’eau au préalable

Coupez en petits morceaux le tofu, mettre dans un bol avec 1 cs d’huile, un peu d’extrait de légumes, les épices raz el hanout et couscous. Réservez

Coupez vos légumes, les olives en deux ou pas, les citrons
Précuire légèrement les carottes et le panais

Faites chauffez la 2ème cs d’huile avec les oignons, ajoutez le tofu épicé, faites revenir, ajoutez courgette et potiron, le cube, le citron confit, le thym, le cumin, le gingembre, sel, poivre et ajoutez suffisamment du ras el hanout.
Laissez prendre quelques minutes
Ajoutez les olives, les pruneaux ou abricots ou/et les cranberries, le jus du trempage.
On laisse cuire en mélangeant délicatement, un petit 15 minutes et il faut que cela ait du goût car le tofu ne libère aucun arôme.

Entretemps, faites bouillir de l’eau pour les vermicelles + le cube. Laissez gonfler 10 minutes. Égouttez et réservez.
Coupez la coriandre , disposez dans un petit ravier des amandes effilées

Au moment de servir, réchauffez les vermicelles, les versez dans une tajine et le mélange par-dessus accompagné de la coriandre.
Les amandes sont déposées à côté des assiettes.







Menu végétarien du vendredi 06 février 2015

Bonjour la maisonnée !



P'tit déj GP
Jus de fruit
Galettes à la farine de lupin
ici
















 servies avec une compote maison
 Thé citron


Déjeuner PL
Gratin de chou fleur
ici













Salade composée à la pomme
ici













Un café accompagné de 2 carrés de chocolat 70% minimum


Dîner GP
Tajine de tofu aux olives sur lit de vermicelles de soja (recette à venir)













Clémentines


Bonne journée !

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