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Baguette - Tarte salée - Salade composée - Gratin courgettes - Galettes végé - Panna cotta fraises

29 janv. 2015

Chou fleur sauce au miel et crevettes (IG bas)



Une recette de Lucia





Ingrédients pour 2 personnes
Environ 500 g de chou fleur frais ou surgelé
300 g de crevettes décortiquées
1 cuillère à soupe de miel
2 cuillères à soupe de vinaigre de cidre
2 cuillères à soupe d’huile d’olive
Sel, poivre
Piment d’Espelette
Quelques feuilles de céleri


Préparation
Cuisez le chou fleur à la vapeur.
Préparez la sauce : mélangez le miel, le vinaigre, l’huile, le sel, le poivre.
Laissez reposer.
Disposez le chou fleur très chaud dans un plat.
Versez la sauce dessus.
Parsemez de piment et décorez de quelques feuilles de céleri.
Servez accompagné de crevettes.




Menu sans gluten ni lactose du jeudi 29 janvier 2015


Bonjour la maisonnée !
Un menu proposé par Lucia


Petit déjeuner GP
1 orange
Riz au lait de fainéante















Déjeuner PL
Chou-fleur sauce au miel et crevettes (recette à venir)













1 yaourt soja
1 barre de chocolat 85%


Dîner GP
Chili sin carne













Salade verte
1 pomme cuite au four



Bonne journée !

28 janv. 2015

Tartinade thon carotte (IG bas)



Une recette de Bibi !





Ingrédients
80 gr thon au naturel
1 carotte râpée
4 cuillères à soupe de tofu soyeux
Jus de citron selon goût
Curcuma,
piment d'Espelette
Sel, poivre
Persil 


Préparation
Battez le tofu soyeux puis ajoutez le thon écrasé à la fourchette et le reste des ingrédients. Assaisonnez avec les épices à votre goût.
Mettez au frais jusqu'au moment de servir sur du pain, toasts, accompagnement...


La tartinade de Martine P





Utilisation des feuilles de céleri

Une astuce de Valérie S


On peut bien sûr les ajouter à une soupe, un bouillon ou un pot au feu !
Mais voici une petite astuce pour les utiliser autrement.

Sur les bouquets de feuilles, retirez les tiges, vous ne gardez que les feuilles vertes.
Mettez-les à sécher sur une grille au four 100°C pendant 1 heure et demie.







Laissez les refroidir et mixez-les.
J'ai commencé par les lames de mon blender et fini dans mon moulin à café.
Vous obtenez une poudre fine que vous mettrez dans un bocal fermé.



Cette poudre pourra servir à confectionner du sel au céleri ou à saupoudrer sur des tomates, à assaisonner une soupe, à relever un plat.

Menu IG bas vite fait du mercredi 28 janvier 2015

Bonjour la maisonnée !


P'tit déj GP
Jus de fruits
Biscottes T150
Confiture
ici
















Café


Déjeuner PL
Oeufs cocotte en julienne de jambon
ici














Salade d'endives
Un yaourt nature
Une poire


Dîner GP
Soupe toute prête (composition OK). Lorsque vous faites de la soupe maison, pensez à en faire en quantité de manière à pouvoir en congeler des portions
Tartinade thon carotte (recette à venir)















Sur du pain, comme celui-ci par exemple
ici













Clémentines



Bonne journée !

27 janv. 2015

Vos menus du mardi 27 janvier 2015

Bonjours la maisonnée !

Les bactéries et notre mobile !

On a tous un Gsm et il traîne un peu partout...


Photo de l'université de Surrey


Les chercheurs de l'université de Surrey au Royaume-Uni ont mené une étude afin de voir si des bactéries se développaient sur les écrans de nos petits joujoux.

Et oui, c'est confirmé mais il paraît que ces microbes seraient sans danger mais quelques-unes comme le "staphylococcus aureus", responsable d'impétigo ou d'intoxication alimentaire ont été observées. Le nombre est impressionnant et leur aspect... Voyez plutôt !  

Les bactéries de la photo appartiennent à des traces de nourriture, d'éternuements, de crachats, ou encore de résidus sexuels.

D'après les chercheurs, c'est en décrochant et raccrochant le téléphone que l'on transmet le plus de sécrétions.

Je vous épargne les autres photos.....

Bon, c'est pas tout cela mais il est temps de d'écrire nos menus☺

Les potins de ce mardi :

Bécha et Bibi nous propose une matefaim un peu différente, venez la découvrir ici

Papotons au salon - Janvier 2015 (3)





Photo du site wallpaper2020

Estelle m'a envoyé cette histoire ce matin.
A méditer.


Un chauffeur de taxi new new-yorkais raconte :
Je suis arrivé à l’adresse et j’ai klaxonné. Après avoir attendu quelques minutes, je klaxonne à nouveau. Comme il s’agissait de ma dernière course de la journée, je pensais partir, mais finalement je me suis stationné et puis je me suis dirigé vers la porte et j’ai toqué.
« Juste une minute », a répondu une voix de personne âgée. Je pouvais entendre quelque chose qui traînait sur le plancher.
Après une longue pause, la porte s’ouvrit. Une petite femme de 90 ans se tenait devant moi. Elle portait une robe imprimée et un chapeau à voilette, ressemblant à un personnage de film des années 1940.
À côté d’elle il y avait une petite valise en nylon. L’appartement semblait comme si personne n’avait vécu dedans depuis des années. Tout le mobilier était recouvert de draps.
Il n’y avait pas d’horloge sur les murs, pas de bibelot ni aucun ustensile sur les comptoirs. Dans un coin il y avait une boîte en carton remplie de photos et de verrerie.
« Pourriez-vous porter mon bagage jusqu’à la voiture ? » dit-elle. J’ai porté la valise jusqu’à mon véhicule, puis suis retourné aider la femme.
Elle prit mon bras et nous avons marché lentement vers le bord du trottoir.
Elle n’arrêtait pas de me remercier pour ma gentillesse. « Ce n’est rien », je lui ai dit     « J’essaie simplement de traiter mes passagers de la façon dont je voudrais que ma mère soit traitée. »
« Oh, tu es un bon garçon », dit-elle. Quand nous sommes arrivés dans la voiture, elle m’a donné une adresse, puis demanda: « Pouvez-vous passer par le centre-ville? »,
« Ce n’est pas le plus court chemin », répondis-je.
« Oh, cela ne me dérange pas », dit-elle. « Je ne suis pas pressée. Je me rends au centre de soins palliatifs. »
J’ai regardé dans le rétroviseur. Ses yeux scintillaient. « Je n’ai pas de famille » reprit-elle d’une voix douce. « Le docteur dit que je n’en ai plus pour très longtemps. » J’ai discrètement arrêté le compteur.
« Quelle route voudriez-vous que je prenne? » demandai-je.
Pendant les deux heures qui ont suivi, nous avons roulé à travers la ville. Elle m’a montré le bâtiment où elle avait travaillé comme opérateur d’ascenseur.
Nous avons traversé le quartier où elle et son mari avaient vécu quand ils étaient jeunes mariés. Elle m’a fait arrêter devant un entrepôt de meubles qui était à l’époque une salle de bal où elle était allée danser lorsqu’elle était jeune fille.
Parfois, elle me demandait de ralentir en face d’un bâtiment particulier ou dans un coin et s’asseyait le regard perdu dans l’obscurité, sans rien dire.
Lorsque le soleil commença à rejoindre l’horizon, elle dit soudain: « Je suis fatiguée j’aimerai que nous y allions maintenant ».
Nous avons roulé en silence à l’adresse qu’elle m’avait donnée. C’était un petit édifice, comme une petite maison de convalescence, avec un portique pour rentrer dans une allée.
Deux infirmiers sont sortis et se sont dirigés vers le taxi. Ils étaient très attentionnés et surveillaient tous les mouvements de la vieille dame. Visiblement ils attendaient son arrivée.
J’ai ouvert le coffre et porté la petite valise jusqu’à la porte. La femme était déjà assise dans un fauteuil roulant.
« Combien vous dois-je? » m’a-t-elle demandé, en ouvrant son sac.
« Rien » lui dis-je.
« Vous devez gagner votre vie », répondit-elle.
« Il y aura d’autres passagers, » ai-je répondu.
Presque sans y penser, je me suis penché et lui ai donné une accolade. Elle me serra fort.
« Vous avez donné un petit moment de joie à une vieille dame », dit-elle. « Je vous remercie. »
Je lui serrai la main, et me retournai. Derrière moi, une porte a claqué, c’était le bruit d’une vie qui se termine.
Je n’ai pris aucun passager le reste de ma course. J’ai conduit sans but, perdu dans mes pensées.
Je n’ai pratiquement pas parlé le reste de la soirée. Que se serait-il passé si cette femme avait eu affaire à un chauffeur en colère, ou à quelqu’un d’impatient et pressé ? Et si j’avais refusé de prendre la course, ou avais klaxonné plusieurs fois, puis parti sans attendre ?
Après réflexion, je ne pense pas avoir fait quelque chose de plus important dans ma vie.
Nous sommes conditionnés à penser que nos vies tournent autour de grands moments. 
Mais les grands moments sont souvent des jolis petits instants auxquels nous ne prêtons pas assez attention.»

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