Bonjour la maisonnée !
Madame la cacahuète !
Photo Le Jardin des Curieux
Notre chère cacahuète n'est pas un
oléagineux ! Et non, elle pousse dans la terre et fait partie
des légumineuses ! Comme les lentilles, pois chiches, etc.
Elle est souvent accusée de faire
grossir car elle contient beaucoup de calories mais les graisses
qu'elles contiennent sont semblables à celles des noix, de l'avocat
et nous sommes donc en présence principalement des acides gras mono-insaturés et poly insaturés.
“Les cacahuètes contiennent des
graisses saines, des protéines, des fibres et plus de 25 nutriments
essentiels, des vitamines B et des acides aminés essentiels, aux
minéraux comme le magnésium, le phosphore et le potassium. Elles
fournissent également une grande variété de composés bi-actifs
qui ont été démontrés dans des études pour favoriser la santé
cardiaque et d'autres avantages”, avance la diététicienne Julie
Upton dans le magazine Eatthis.
Il est conseillé de choisir des
cacahuètes en coque, car elles ne sont pas transformées et surtout,
elles sont non salées. Des études ont prouvé que même bouillies
ou grillées, la quantité de phytonutriments présents dans les
graines, les rendant encore plus saines.
Elles favorisent la santé cardiaque
Elles aident à maintenir un poids
santé par le duo dynamique de protéines et de fibres, aide à
ralentir la digestion pour aider à calmer la faim et augmenter la
satiété de vos repas et collations
Elles augmentent l’espérance de vie
Elles aident à contrôler la glycémie.
Une étude publiée dans JAMA montre que consommer des arachides ou
du beurre de cacahuètes permettraient de réduire les risques de
développer un diabète de type 2 chez les femmes. Selon la quantité
ingérée quotidiennement, le risque pourrait être réduit de 8 à
27 % par rapport à celles qui n’en consommeraient pas.
Elles réduisent les risques de cancer.
Manger des cacahuètes dès le plus jeune âge réduirait les risques
de maladie mammaire bénigne qui, lorsqu'elles apparaissent,
augmentent ceux de développer un cancer du sein à 30 ans, selon une
recherche scientifique parue dans la revue Breast Cancer Research and
Treatement.